2022 devait être l'année de l'amorce de la décrue des créances douteuses et litigieuses. C'était sans compter sur une nouvelle sécheresse et la guerre en Ukraine qui sont venues bouleverser les scénarios. L'encours se stabilise, mais à un niveau élevé. Cependant, en dehors du secteur de la construction, les banques restent relativement optimistes sur le comportement de la sinistralité. Dans le même temps, Bank Al-Maghrib accélère sur le front du marché secondaire des créances en souffrance. Après l'envolée des créances... Cet article est réservé aux abonnés Abonnez vous pour lire cet article ainsi que tout le contenu de votre quotidien Les Inspirations Eco Je m'abonne Déjà abonné connectez vous ICI Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.