Mise en service en 2014, l'actuelle et sixième génération de la Mustang passe déjà par la case restylage. Objectif : maintenir la «Pony Car» la plus célèbre au rang de sportive la plus vendue dans le monde et de tous les temps, y compris en 2016. Visiblement, les designers de Ford n'y sont pas allés avec le dos de la cuillère, réalisant un profond facelift, sur les deux carrosseries, coupé et cabriolet. Résultat : la face avant s'élargit visuellement à travers des phares débordant sur les ailes et une calandre redessinée dans laquelle apparaîssent deux lignes verticales formant un V ou presque. À l'arrière, hormis l'adoption d'un nouvel ensemble bouclier-diffuseur d'air et d'un becquet optionnel, les évolutions sont plus discrètes, avec notamment des blocs de feux au modelé en 3D plus prononcé. L'habitacle n'est pas en reste, avec outre des matériaux plus cossus et mieux finis, l'adoption (en option) d'une nouvelle instrumentation totalement digitale et prenant place sur un écran de 12'' derrière le volant. L'équipement s'enrichit de nouveaux dispositifs sécuritaires, comme le Pre-Collision Assist, qui scanne la route, détecte les piétons et les obstacles, puis avertit le conducteur, voire enclenche un freinage d'urgence si celui-ci est discret. Mécaniquement, le V6 disparaît du catalogue laissant la voie libre aux 2.3 EcoBoost et V8 5.0 l qui gagnent en puissance et en couple, mais sans plus de précision de la part de Ford. En revanche, l'on apprend que les deux versions pourront être associées (en option) à une boîte automatique à 10 vitesses et à une suspension pilotée dite MagneRide. À coup sûr, cette Mustang révèlera tous ses secrets au Salon de Genève, prévu du 9 au 19 mars prochains. La vidéo de la semaine «Last Chance to Drive» ou quand la Giulia raille la voiture du futurxx Quand les publicitaires d'Alfa Romeo se moquent de la voiture autonome, cela donne le dernier spot de la Giulia. Dans cette vidéo qui nous projette dans un avenir pas si lointain, Eric, un jeune cadre prend place dans un véhicule similaire à une Google Car et lui demande, par reconnaissance vocale, de l'emmener au bureau. Commence alors un dialogue confus entre l'homme et l'interface «intelligente» de la machine. Alors que les commandes fausses ou aléatoires fusent de la part de cette dernière, Eric s'impatiente de voir l'engin démarrer, avant de se mettre en rogne et hurler : «je veux juste conduire». Il se retrouve alors derrière le volant d'une belle Giulia, dans sa surpuissante version Quadrifoglio Verde (510 ch). Tourné pour le compte de la filiale du groupe italien en Israël, ce film publicitaire veut en fait passer comme message de la sportivité et du plaisir de conduite, au demeurant des valeurs chères à la marque au «biscione». Le chiffre 100.000, c'est le cap symbolique que viennent de franchir les ventes du Mokka X en Europe. Un volume significatif dans le sens où il intervient tout juste six mois après le lancement de ce modèle, ce qui est très rare dans l'industrie automobile, même pour un véhicule de ce segment. Le démarrage commercial du SUV compact d'Opel connaît donc un franc succès sur le vieux continent et logiquement plus encore sur son propre marché. Ainsi et comme l'indique Opel dans un communiqué, «en Allemagne, le Mokka X a réussi à se hisser au niveau d'une concurrence très vive, avant même de prendre en novembre la première place au hit-parade des immatriculations sur le segment très compétitif des SUV». Au total et depuis le lancement du Mokka en 2012, la marque à l'éclair a déjà comptabilisé plus de 670.000 commandes à ce jour. Il est à noter enfin que le Mokka X arrive début février dans le réseau de CFAO Motors Maroc.