Le groupe OCP accompagne l'artiste Mohamed El Baz qui expose sur le parvis de la gare de Marrakech, l'oeuvre Door of Heaven, qui est un plaidoyer pour un monde plus green. C'est une initiative qui ne passe pas inaperçue. En effet, depuis le début de la COP 22 à Marrakech, les habitants et les visiteurs ont remarqué l'œuvre de l'artiste marocain Mohamed El Baz, Door Of Heaven, qui trône sur le parvis de gare. Cette initiative, soutenue par le groupe OCP, vise à sensibiliser le grand public aux enjeux du développement durable. Composée de 21 panneaux photovoltaïques, évoquant les silhouettes d'arbres solaires, l'installation imposante appelle à revoir nos modes de vie et nos rapports coupables à la planète. Elle invite à prendre conscience de ce que notre responsabilité et ambitionne d'impliquer les spectateurs dans les changements climatiques à l'oeuvre, de manière à responsabiliser ces derniers, à les inciter à une réelle reprise en main et à valoriser les comportements qui préservent l'environnement. Conçu comme un hommage à la Terre, chaque panneau solaire cristallin de l'oeuvre est fabriqué à partir d'un sable fondu puis refroidi avant sa cristallisation. Découpée, traitée et assemblée sous une plaque de verre, le panneau photovoltaïque convertit des photons (particule de lumière) en électrons (particule d'électricité). Cette énergie est collectée et redirigé vers des batteries recyclables par le biais de régulateurs. La production d'électricité permet d'illuminer l'oeuvre tout au long de la nuit, grâce à une horloge astronomique qui calcule, jour après jour, les heures de lever et de coucher du soleil. Cette horloge commande ainsi l'allumage des panneaux dans le respect de la décharge de la batterie. La structure et le fonctionnement de l'œuvre sont éco-durables. Elle est connectée et agit en interaction avec les techniques de communication contemporaine , chacun peut grâce à son smartphone recevoir, par les QR codes installés, des informations complémentaires et entrer dans le site internet dédié à l'œuvre. Chacun peut par cette appropriation digitale construire ou reconstruire son propre monde. Cette oeuvre artistique monumentale sera exposée jusqu'au 30 avril 2017. Tags: COP22 art environnement OCP Mohamed El Baz