Le bilan du ministère de l'Energie fait ressortir plusieurs points d'inflexion et de coupure avec le passé: réforme minière, redistribution des rôles entre les différentes institutions agissant dans le secteur énergétique, nouvel arsenal juridique, régulateur de l'électricité... Toutefois, il va falloir que la machine tourne à plein régime pour constater le degré d'homogénéité des réformes apportées atteint, de même que l'impact sur la production énergétique au Maroc. Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition disponible en kiosques, ou en version e-Paper