Les chèques sans provision augmente d'année en année./DR Qu'il s'agisse de chèques, de lettres de change voire même de prélèvements automatiques, le premier motif de rejet est l'insuffisance de provision. Le niveau de rejet à cause de ce motif est en hausse année après année. Le groupement pour un système interbancaire marocain de télécompensation (GSIMT) vient de diffuser son rapport annuel, relatant, entre autres, l'évolution de l'usage des instruments de paiement scripturaux et des rejets de ces derniers. Ainsi, selon ledit document, les rejets de chèques, de lettres de change ont aussi avancé. En effet, l'évolution annuelle des rejets de chèques, tous motifs confondus, fait ressortir une tendance du taux de rejet oscillant entre 2,39% et 2,57%. Toutefois, le taux des rejets pour motif d'«insuffisance de provision» a poursuivi légèrement sa hausse depuis 2011 en passant de 1,33% à 1,42% en 2014. Les lettres de change normalisées, pour leur part, ont enregistré un accroissement significatif des impayés depuis 2010. Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition du jeudi 11 juin, disponible en kiosques, ou en version e-Paper.