Ciments du Maroc et le jardin zoologique de Rabat s'associent en signant une convention pour la protection des espèces animales sauvages. Fidèle à sa politique sociétale en faveur de la sauvegarde du patrimoine naturel et de l'éducation, Ciments du Maroc soutient le programme de conservation des espèces sauvages depuis l'inauguration du Jardin zoologique de Rabat en 2012, notamment à travers l'organisation d'ateliers pédagogiques pour écoliers et enfants des associations. En effet, à l'occasion du 2e anniversaire du zoo, la signature d'une convention de partenariat s'est tenue en présence de Mohamed Chaïbi, président-directeur général de Ciments du Maroc et d'Abdeladim Lhafi, Haut-commissaire aux eaux et forêts et à la lutte contre la désertification, et surtout président-directeur général du Jardin zoologique, ainsi que d'autres sponsors ayant contribué au soutien du programme de protection et de conservation des espèces animales sauvages, et ceci afin de consolider la mise à niveau des plans de conservation de ces espèces et de favoriser leur acclimatation dans un milieu ex-situ. En parallèle à la convention signée ce jour-là, le Jardin zoologique a organisé sa première rencontre scientifique sous le thème : «La conservation de la faune sauvage au Maroc» pour discuter des avancées en matière de recherche dans ce domaine. Lila Hadi, premier single d'Aymane l Le futur du raï'n'b, Aymane Serhani sort un premier single qui fait du bruit : «Lila Hadi». Un artiste marocain donne naissance à une nouvelle chanson, à un nouveau style. Ce jeune homme, né le 27 février 1992 à Lille, la grande ville du nord où il vit toujours, nourrit comme immense ambition à la fois la préservation, la valorisation et le renouvellement de la chanson maghrébine, au sens noble du terme. Il aurait pu, comme tant d'artistes de son âge virer MC, DJ ou maestro de l'électro, mais pour Aymane Serhani, rien ne compte plus au monde que le patrimoine de ses origines : Oujda, la capitale du «reggada» mais également l'autre capitale du raï. Enfant, puis préadolescent, il écoutait du raï, celui de Khaled ou de Cheb Hasni, du chaâbi, ce chant populaire marocain aux vertus dansantes, du «Khaliji», genre propre au pays du golfe et au tempo très élevé. Il écoutait également des chansons provenant surtout du style Bollywood. Aymane fait de la musique, sa passion. Il y excelle aussi quand il interprète tous ces répertoires, avec sa voix chaude et persuasive, qui avait d'abord séduit son entourage. Au départ, Aymane ne voulait pas se jeter dans la fosse aux chansons. Parallèlement à ses études en communication, il passe le plus clair de son temps à travailler ses cordes vocales et à rechercher son propre style, jusqu'à ce que le chanteur franco-marocain Hanino, auquel il exprime sa reconnaissance, le pousse à emprunter le chemin du studio d'enregistrement. Il enregistre ce premier single, sous le titre alléchant «Lilla Hadi» (cette nuit-là), et le ballon d'essai s'avère réussi, avec ses boucles entêtantes porteuses d'un raï'n'b audacieux dans ses intentions. «Il reflète le lustre d'un passé musical prestigieux et les promesses d'un devenir au groove entêtant». Aymane ne s'est encore jamais produit sur une scène. Ceci ne tardera sûrement pas à arriver ...