Si le 20 août est un jour cher pour les Marocains, ici et partout dans le monde, car il nous fait revivre les événements de la glorieuse révolution du Roi et du peuple pour l'indépendance du Maroc, le 21 août l'est aussi, à plus d'un titre. C'est purement un tout autre grand jour qui illustre la très forte symbiose existante entre le Trône, la jeunesse et le peuple marocain en général. Un événement qui, cette année, coïncide avec le 44ème anniversaire de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Ce «jeune» Roi qui, depuis son accession au Trône, n'a cessé de parcourir tous les chemins, menant le pays vers un futur meilleur, le restera toujours, aux yeux des Marocains qui lui partagent aujourd'hui la joie et le bonheur à l'occasion de son 44ème anniversaire. Une célébration qui consacre dans sa portée et ses significations l'engagement Royal envers la jeunesse marocaine, ce potentiel humain qui représente plus de 70 % de la population marocaine. Cette catégorie sociale tant admirée par le Souverain, comme il est le cas des autres composantes de la société marocaine, doté d'une priorité aux yeux de S.M Le Roi Mohammed VI et considérée comme étant le principal bénéficiaire de l'ère du renouveau. Dans cette optique Royale, une nouvelle démarche a été inventée, une politique concrète visible qui le responsabilise et qui lui offre des droits nouveaux et des opportunités nouvelles. L'admirable et la merveilleuse image du Souverain à l'échelle nationale a dépassé les frontières du Royaume pour caractériser la bonne réputation dont jouit Sa Majesté le Roi dans les quatre coins du Monde. Un constat palpable dans les fructueuses relations bilatérales qui lient le Maroc à divers pays du globe. De plus en plus, les constats réels démontrent que, ici comme ailleurs, l'on commence à faire davantage confiance à ce «jeune» Roi qui mérite d'être apprécié, écouté, aimé et surtout suivi par un peuple qui lui fait humblement confiance et qui l'admire. En douter, c'est être contre le gré de la volonté général du Roi et du peuple, tous unis dans le cadre de la nouvelle et récente «révolution du Roi et du peuple». Une révolution, cette fois-ci, socioéconomique et politique, contre tous les points noirs qui pourrait retarder le développement de tout un pays. La volonté Royale est sans égal à l'échelle régionale. Cette volonté clairvoyante s'est affichée pour permettre à l'Homme de vivre paisiblement et dignement, comme l'a affirmé le Souverain dans son message de vœux à l'occasion du Nouvel An de l'Hégire : «Si, parmi nos ambitions majeures, nous entendons faire du 21ème siècle, le siècle de l'homme par excellence, il n'en demeure pas moins que la réalisation de ce dessin exige, au préalable, de relever les défis de la démocratie nationale et universelle et du développement durable. Elle requiert de gagner, outre les enjeux de la mondialisation humanisée, le pari de la diffusion des valeurs de la paix, de la sécurité et de la solidarité. Il faudra parallèlement, veiller à ce que le progrès soit partagé, en toute équité, entre les peuples, les continents et les civilisations», affirme le Souverain dans son message de vœux à la Nation à l'occasion du Nouvel an de l'Hégire de l'année dernière. Et comme pour expliquer le noyau de sa volonté et ses actions Royales, le Souverain, dans son même message de Vœux, précise : «Il nous incombe, enfin, de trouver de nouvelles formules pour combattre la pauvreté et l'ignorance, contrecarrer toutes les formes d'extrémisme ethnique et idéologique, réduire la course aux armements et réfréner les tendances au matérialisme à outrance.» Avec un style de simplicité et d'ouverture qui redonne une nouvelle vigueur à son règne transparent et respectueux du peuple, le Souverain, qui fête aujourd'hui son 44ème anniversaire, a consacré son total intérêt aux différents aspects de la vie des Marocains, démontrant, ainsi, la détermination Royale d'asseoir le pays sur des bases modernes, consistantes et adaptées aux nouvelles exigences. Chose sûre : le Maroc, avec S.M Le Roi Mohammed VI, est entre de bonnes mains ! La «révolution» de la modernité