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J'aime la femme marocaine libre
Publié dans Jeunes du Maroc le 12 - 02 - 2007

Euh la femme, quel être humain ! Je l'adore telle qu'elle est si elle garde sa nature féminine et sa dignité originelle.
Tout le monde sait que la femme est la moitié d'une société sans laquelle on pourrait plus se sentir l'amour de vie ni le repos spirituel ni aussi la tranquillité sexuelle. Elle est la base de l'équilibre planétaire. C'est subodorant lorsque l'on sait que c'est un homme qui le synthèse ; mais c'est la réalité de la belle créature du monde.
On est pour l'émancipation des femmes marocaines. Elles méritent une place hautement hiérarchique. Elles doivent de plus en plus maintenir et développer ce qu'elles ont réalisé dans tous les domaines. On est heureux pour les réalisations des femmes ; et puisqu'on les aime, on les encourage.
On se demande souvent est-ce que la scolarisation fait éloigner les femmes de la religion ? Est-ce qu'une femme hautement instruite et riche se sent coincée une fois voilée ? Est-ce qu'elle cache quelque chose ? Peut-on parler d'une époque logiquement libre où les femmes font séduire indirectement les faibles ? Est-ce qu'après les paroles de Dieu nous avons le droit de nous comporter selon les directifs d'une âme que le diable attire vers son jeu ?
Par l'amour du ciel, notre cœur tombe malade quand on voit une belle femme, séduisante, instruite ; ayant un poste de responsabilité alors qu'en contrepartie elle ne fait pas ses devoirs religieux, en réalité, allons voir une femme rassemblant les quatre valeurs magiques et vous allez voir un être totalement pur.
On n'essaie pas d'être imam ou fkih, mais juste une chose dans le cœur qui nous bouscule à dire que c'est vrai, la liberté est une bonne chose, mais toute liberté a ses limites et nous nous avons des valeurs islamiques. Ce qui nous gène, c'est qu'au moment de la mort, on est comme des bébés sans force, notre vie est si fragile. On se contredit parfois. On utilise ici la stratégie à long terme et ailleurs on est matériel.
On veut vivre le moment présent, hélas, la vie n'est pas éternelle. Ce que l'on voit, c'est que nos femmes ont encore la foi, al hamdouliAllah.
Chaque personne veut la liberté et le bonheur, chaque personne est libre de faire ce qu'elle souhaite de sa vie.
Chaque personne poursuit son chemin en connaissances des circonstances de tout acte. Mais : "dakir ina dikra tnf3o moaminin".


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