Des sources bien informées ont révélé qu'une enseignante de français qui exerçait dans un institut de formation professionnelle à Erfoud est décédée ce dimanche matin des suites de graves blessures subies causées par une agression physique grave sur la voie publique. L'un de ses élèves de 21 ans est le suspect, il aurait utilisé un instrument tranchant pour commettre le crime. La victime a été transférée dans un état critique à l'unité de soins intensifs de l'hôpital universitaire Hassan II de Fès le 27 mars, où elle est décédée dimanche en raison de la gravité de ses blessures. L'agression contre la professeure, perpétrée par l'un de ses étudiants, a choqué la communauté enseignante et l'opinion publique, déclenchant une vague de condamnations et d'indignation sur les réseaux sociaux. Les citoyens et les activistes numériques ont exprimé leur solidarité avec la défunte exigeant justice et une protection adéquate pour les femmes et les hommes dans l'éducation dans l'exercice de leurs fonctions. Selon des sources sécuritaires, la police de la ville d'Erfoud ont arrêté le suspect peu après qu'il ait commis le crime. Il a été placé en garde à vue sur ordre du procureur compétent et l'enquête est intensifiée pour déterminer toutes les circonstances et les motifs de cette agression brutale. Les plateformes de médias sociaux ont diffusé des clips vidéo capturés par les caméras et les téléphones portables des citoyens, montrant les moments de l'agression et de l'enseignante tombant au sol, succombant à ses blessures. Cette scène choquante a suscité des sentiments de tristesse et de ressentiment au sein de l'opinion publique. Le procureur général près la cour d'appel d'Errachidia a ordonné que l'étudiant impliqué dans l'agression soit détenu à la prison locale d'Errachidia, en attendant sa comparution devant la justice lors de la prochaine audience. Cette déclaration intervient alors que des défenseurs des droits de l'homme et des représentants du secteur de l'éducation appellent à des sanctions plus sévères contre les agresseurs d'enseignants et à un environnement sûr et stimulant au sein des établissements d'enseignement et de formation. Cet incident tragique remet au premier plan le débat sur le statut des enseignants et enseignantes au Maroc et l'ampleur des défis auxquels ils sont confrontés, tant en termes de conditions professionnelles que de protection juridique et sécuritaire, dans un contexte de violence croissante dans les milieux éducatifs. Des sources éducatives ont révélé que la défunte, connue pour sa compétence et sa discipline professionnelle, faisait partie du personnel enseignant qui a consacré sa vie au service des élèves. La nouvelle de son décès a été une source de profonde tristesse pour ses collègues, ses étudiants, qui ont exprimé l'espoir que cet incident tragique marquerait un véritable tournant dans le renforcement de la protection de la communauté des enseignants.