On en a tous déjà vu! Ces femmes-mulets qui transportent de la marchandise du préside occupé de Sebta. Toutefois, ces femmes qui, certes, font u travail ingrat et souffrent pour se garantir un revenu, aussi modeste soit-il, ne le font pas dans la propreté requise. L'école "Prince Felipe du CIPE" située à Sebta à quelques mètres de la frontière du préside occupé, souffre justement de ce manque d'hygiène. Selon l'association des parents d'élèves de ladite école, ces femmes laissent traîner derrière elles des déchets qui déragent, et la vie des enfants-élèves s'en retrouve impactée, rapporte ce vendredi 26 octobre,le site d'information espagnol El Faro de Ceuta. Ces femmes-mulets laissent derrière elle des cartons et des sacs en plastique à l'entrée et aux alentours de l'école, pour cacher les marchandises dans leurs vêtements, expliquent les parents d'élèves, qui déplorent qu'en dépit des efforts qu'ils déploient pour nettoyer après le passage de ces femmes, les déchets s'accumulent. Une heure est suffisante pour que les ordures s'amoncellent à nouveau, souligne une maman d'élève. D'autre part, l'association de parents d'élèves affirme que les entrées de l'école sont devenues "des toilettes" pour les femmes-porteuses", notamment dans les parties les plus isolées, près de la porte des enfants que les femmes "utilisent comme un urinoir". Les parents d'élèves ont dénoncé récemment cette situation à la ville. Ils ont montré des photos prouvant leurs dires où l'on peut voir "de l'urine et des excréments humains près de l'accès de l'école". Ils réclament ne intervention des autorités compétentes pour trouver une solution.