Un communiqué émis par le cabinet du Chef du gouvernement a indiqué que la réponse Julie Verhaar la secrétaire générale adjointe d'Amnesty International (AI) qui assure l'intérim de l'organisation depuis la démission de son secrétaire général n'a pas fourni les preuves matérielles que le gouvernement marocain n'a eu de cesse de demander à l'ONG quant aux allégations infondées à propos d'un logiciel d'espionnage. La réponse du berger à la bergère est en quelque sorte un coup d'épée dans l'eau puisque l'exécutif marocain a estimé la réponse d'Amnesty International pas convaincante du tout. En effet, la réponse au courrier (AI) de réclamations envoyé ne répondant donc pas aux exigences du gouvernement et surtout n'ayant fourni aucune preuve étayant les allégations, le gouvernement marocain se dit être toujours dans l'attente d'éléments scientifiques et concrets argumentants les graves accusations à l'encontre du Royaume. Au regard de cela, le gouvernement marocain insiste toujours afin qu'Amnesty International lui fasse parvenir une copie du rapport de l'expertise scientifique adoptée pour adresser ces accusations infondées ou de rendre public ce rapport. Le Maroc se dit d'un autre côté toujours ouvert au dialogue et réitère sa demande d'éclaircissement quant aux fausses allégations dont il est victime.