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Grandeurs et handicaps du tourisme national (3ème partie)
Publié dans GoAgadir le 26 - 11 - 2008

Handicaps majeurs : formation professionnelle, manque d'animation touristique, non implication des élus, gestion d'amateurs…
Il est certain que le secteur du tourisme en tant que vecteur de développement socio-économique et en tant que secteur pilier de l'économie nationale peut être analysé sous différents angles. N'empêche, sans vouloir rejeter ni nier les acquis du tourisme il y a plus de trente ans, ce n'est qu'avec la signature de l'Accord Cadre et la Vision 2010 que les choses sont devenues plus claires, plus performantes qu'avant, en tout cas. On peut être d'accord ou pas sur les moyens et les finalités de cette vision, n'empêche qu'elle est un document de travail qui va servir, entre bien d'autres, à penser et élaborer la vision 2020.
Les critiques et les différentes observations sur le tourisme national, qui émanent de beaucoup de professionnels compétents et d'analystes avertis viennent du fait de leur grande ambition de vouloir voir le secteur du tourisme, aller mieux encore, d'autant plus que le pays renferme un réel potentiel touristique, non encore développé, ni valorisé. Cela est possible, cela est faisable, si l'Administration et les Pouvoirs publiques et bien sûr, si les responsables et décideurs du secteur prennent la peine de se pencher sur les handicaps du secteur pour les éliminer l'un après l'autre. S'ils prennent la peine également d'écouter les professionnels, ceux qui vivent pour et par le tourisme, ceux dont l'expérience de terrain dépasse l'âge de certains décideurs actuels.
Le développement du tourisme passe inévitablement par une concertation élargie et une écoute intelligente des professionnels du secteur. Le cas de la formation professionnelle, handicap majeur de notre tourisme est révélateur à ce sujet. Déjà à l'époque où la formation professionnelle en tourisme et hôtellerie était sous la tutelle du ministère du tourisme, tout le monde s'en plaignait sérieusement. Avec le passage sous la tutelle de l'OFPPT, on n'a fait qu'aggraver la situation. D'abord parce qu'on a visé la quantité au détriment de la qualité. Ensuite parce l'OFPPT a pris en charge un secteur pour lequel il n'a pas été préparé du tout. C'est un secteur qui demande un savoir faire et une bonne connaissance de terrain. Résultat aucun professionnel n'est satisfait de la qualité de formation, faite actuellement à la va vite, d'une manière qui ne sert nullement la cause du tourisme, à tel point que des professionnels doutent sérieusement sur les méthodes de formations employées actuellement.
Or la formation professionnelle en hôtellerie et tourisme ne peut réussir sans l'implication des professionnels eux-mêmes, dans tout le processus de la formation, allant de l'établissement du cursus, à celui des modules de formation, jusqu'à la participation aux cours théoriques et pratiques, aux conférences et aux travaux dirigés au sein des établissements de formation, en terminant par la validation des examens et des diplômes. L'Université vient de se mettre au tourisme avec la fameuse licence appliquée, dans certaines facultés, mais sans aucune concertation ni implication des professionnels. Les fameux établissements privés, qui fleurissent dans les principales villes à vocation touristique, se mettent également dans la formation en tourisme et hôtellerie sans consultation des opérateurs touristiques et des professionnels, les premiers employeurs de tous ces lauréats formés. Bref, chacun se débat à sa façon, avec ce qu'il peut, ce qu'il juste utile alors que la formation est la clé de voûte de la réussite du tourisme.
La formation professionnelle doit revenir sous la tutelle du ministère du tourisme, le mieux habilité à l'encadrer en partenariat avec les professionnels. L'Etat garantit le diplôme, les professionnels assurent et participent au suivi de la qualité de la formation selon les critères internationales et selon le besoin du secteur. Il est à remarquer que c'est le service qui est à la base de la réussite des prestations touristiques. Ce ne sont ni les étoiles des établissements hôteliers, ni les fourchettes des restaurants, ni les belles tenues de travail du personnel qui comptent. Le tourisme est jugé sur la qualité des services rendus, cela commence d'abord par l'accueil à l'aéroport, en passant par les services à l'hôtel, par la restauration, en passant également par l'information touristique, jusqu'au taxi et jusqu'à l'affichage des prix dans un bazar, pour terminer dans un bon environnement urbain et rural, dans son ensemble.
Le tourisme est un tout indissociable. Le tourisme ne peut être quantifié qu'e par la satisfaction du client. Le touriste est avant tout à la recherche du plaisir, de sensations, il veut vivre des émotions, il aime être pris en charge positivement, il déteste être dérangé, induit en erreur, ou être mal informé, surtout arnaqué. L'hospitalité légendaire du Maroc est un bon atout touristique, mais qui reste incomplète sans le savoir faire professionnel qui l'accompagne dans la réalisation des prestations touristiques au quotidien. N'oublions pas que le client actuel est devenu également un professionnel des voyages. IL a fait beaucoup voyager avant de venir chez nous. Il sait discerner le bon service du mauvais. Il compare, analyse et se fait son idée. La satisfaction reste son baromètre principal. Et c'est de cela que découle le fameux taux de retour. Plus on est satisfait, plus on aime, plus on revient. Le contraire est malheureusement plus vrai encore, il est même nuisible au développement du tourisme. Ne dit-on pas dans le métier qu'un client satisfait ramène trois autres alors qu'un client insatisfait en influence quinze.
Il est regrettable tout de même de remarquer que le Maroc qui se veut un pays touristique n'arrive toujours pas à maîtriser la formation professionnelle pour un secteur très porteur. Au moment où les pays touristiques disposent de toute une panoplie de centres, d'écoles et d'instituts de formation, voire de facultés du tourisme dans les principales régions touristiques, on est incapable de satisfaire le secteur avec la qualité de formation (mais également le nombre de lauréats suffisants) qu'exige la profession ( en hôtellerie, restaurant et voyages), avec la savoir faire qu'il faut impliquant incontestablement les professionnels de terrain. Et ce depuis toutes ces années, car le problème ne date pas d'aujourd'hui. Précisions que ce n'est pas aux professionnels d'aller frapper les portes des établissements de formation (qu'ils soient publics ou privés), c'est aux responsables de la formation d'établir les contacts, les bons partenariats pratiques, pragmatiques et bien fonctionnels qu'il faut, avec les professionnels. Avouez qu'une démonstration d'un chef cuisinier ayant pratiqué le métier durant trente années ou celle d'un hôtelier en exercice depuis une trente cinq ans, valent cent fois plus que les meilleurs cours théoriques ou ceux d'un formateur fraîchement formé qui n'a jamais fait de terrain.
La non-implication des professionnels dans le secteur de la formation professionnelle trouve son corolaire dans la non-implication des élus locaux, régionaux mais également au niveau du parlement et de la deuxième chambre, dans le développement du tourisme. Les élus croient à tort que les professionnels du tourisme se prennent en charge tout seul et n'ont besoin de personnes pour les soutenir. Un hôtelier tient proprement et correctement son établissement mais n'est nullement censé, ni habilité à s'occuper de la propreté du quartier ou de la ville. Celles-ci sont du ressort des élus locaux. Le tourisme ne peut évoluer que dans un environnement cohérent, bien pris en charge par les responsables locaux compétents, les élus et les Autorités, en tête. L'éclairage public, les feux rouges, la signalisation, les routes, les passages pour pitons, les espaces verts, le ramassage des ordures, les bancs publics, entre autre sont du ressort des élus. Ce sont des éléments importants qui comptent dans l'environnement du tourisme. S'ils sont défaillants, la satisfaction du client ne peut être complète aussi parfaite soit-elle au sein des hôtels, par exemple.
Sans l'implication effective des élus dans le développement du tourisme, principalement à l'échelon local et régional, on ne réussira jamais à être au niveau du défi des pays touristiques concurrents. On ne peut s'empêcher de rappeler l'exemple, une fois de plus concluant d'Agadir, dans la cadre de l'implication des élus. Le Conseil Régional du Souss Massa Draâ, depuis l'élection de son président Aziz Akhannouch, n'a cessé de donner l'importance qu'il faut au secteur du tourisme, tant au niveau d'Agadir, en tant que chef lieu de la Région, qu'au niveau régional, principalement pour les villes à vocation touristiques dont Ouarzazate et Zagora. Le Conseil Régional subventionne le CRT Agadir SMD, l'accompagne dans ses actions promotionnelles, initie des évènements d'animation touristique, a lance des opportunités d'investissements avec la micro-industrie touristique (en matière d'hébergement, restauration, camping, cinéma, développement de l'aérien et sports…). L'un des soucis majeurs des élus régionaux, est le développement touristique à l'échelon régional. C'est une stratégie qui honore le Conseil Régional, son président et ses membres. IL concrétise le bon exemple à suivre grâce la synergie qu'il développe avec les Autorités et les professionnels.
L'absence de l'animation touristique dans nos villes à vocation touristiques, est un sérieux handicap qui ne cesse de porter préjudice au développement du secteur. Le tourisme, ce n'est pas rien des hôtels, des restaurants, des agences de voyages et des agences de location de voiture. L'animation est déterminante dans la réussite de tout produit touristique. Il est grand temps pour le Maroc de développer une stratégie nationale, à l'instar du Plan Azur, spécifique à l'animation touristique dans les différents zones et villes à vocation touristique porte un vrai préjudice à la destination Maroc. Le client est à la recherche constante d'endroits spécifiques pour passer un bon moment, pour s'amuser, pour se distraire, en famille, avec des amis ou tout seul. Il est capable de dépenser de l'argent, pourvu qu'on lui donne la bonne raison et le bon prétexte pour le faire. Lancer une stratégie nationale de développement de l'animation touristique, avec la panoplie d'encouragements à l'investissement qu'il faut, est donc incontournable.. La panoplie des projets en matière d'animation touristique est longue. Cela commence par les parcs d'attraction, les parcs à thèmes, les aquarium, les bowlings, les parcs aquatiques, les kartings, les musées tous genres, les parcs et réserves naturels, les jardins botaniques et exotiques mais également par des places publiques intelligemment animées, dans les villes touristiques.. Evidemment le grand apport du tourisme c'est de générer des dépenses et de créer des emplois, cela est possible également hors hôtellerie, restauration et circuits touristiques. Nous avons besoin dans nos diverses destinations touristiques de grands centres commerciaux, permettant aux visiteurs de faire du grand shopping et de dépenser leur argent. Le shopping est partie intégrante du tourisme moderne. Cela a fait même la renommée internationale de certaines destinations aux atouts naturels limités, tel Dubaï, par exemple.
La politique touristique nationale a besoin d'être revue, corrigée et alimentée à travers des politiques touristiques régionales qui nous font défaut actuellement. D'ailleurs il serait judicieux que la Vision 2020 s'articule beaucoup plus sur les politiques régionales spécifiques à chaque région pour venir alimenter, voire enrichir et faire évoluer la Vision 2010. La richesse du produit marocain est la résultante de la diversité du produit touristique qui émane de la richesse touristique de ses régions. Non seulement il faut développer cette stratégie régionale dans une approche cohérente et intégrée, mais il faut également doter les régions des moyens adéquats leur permettant de faire leur propre promotion touristique. L'ONNT doit coiffer le produit national dans sa globalité avec une promotion institutionnelle. Aux Régions de bien se faire vendre à l'étranger ( mais également dans le pays ), par des moyens matériels et humains adéquats, assez suffisants et spécifiques à chaque produit touristique donné. La régionalisation touristique n'est pas un luxe. C'est une nécessité. IL suffit de participer aux foires internationales et de voir ce que font les pays touristiques dans son sens et les moyens importants qu'ils mettent en œuvre pour le promotion des produits touristiques régionaux.
Il est à souligner que face à la richesse et à la diversité du produit touristique existant ou qui reste à découvrir et à développer, la régionalisation doit englober une prise en main régionale, avec une administration régionale souple, dynamique, moins contraignante en matière de procédure administrative ou autres. Le moment est peut être venu pour instituer des Agences Régionales de Développement Touristique. Celles-ci auront une compétence régionale qui englobe des provinces limitrophes dont le dénominateur commun n'est autre que le développement touristique intégré et cohérent, respectant les spécificités de chaque province. Quatre Agences Régionales de Développement Touristique suffisent pour englober tout le produit marocain : le Nord le sud, le centre est et le centre ouest. Sinon, il faudrait se contenter de trois agences celle du Nord, celle du grand Sud et celle du centre. La compétence de ces agences de la réalisation des études en tourisme, aux enquêtes de satisfaction, en passant par des analyses de conjoncture avec des observatoires régionaux du tourisme, jusqu'à la promotion touristique régionale à l'étranger.
Dans le même ordre d'idée, à l'échelon plus importante encore visant la bonne promotion du produit touristique marocain, à la fois dans sa globalité et dans ses spécificités, le Royaume a besoin de la réalisation d'une chaîne hôtelière nationale qui reflète son patrimoine civilisationnel séculaire en matière de gastronomie, d'accueil et hospitalité, d'artisanat, de bijouterie etc… Il s'agit de penser à la réalisation des hôtels de luxe, qui appartiendraient à l'Etat mais qui seront gérés par des professionnels avec un type de gestion privée à 100% et ce dans les grandes capitales européennes et autres. Imaginer un vrai palace typiquement marocain, à tout point de vue, architecture, décoration service, gastronomie, adossé à un musée sur le patrimoine culturel national, à Paris, Londres, Rome, Bruxelles, Berlin, Tokyo ou New York… Un genre de Mamounia, bien revu et corrigé, ça serait incontestablement le plus beau cadeau promotionnel et effectif que l'on peut faire au tourisme national et au patrimoine civilisationnel du Royaume.
En tout cas, notre tourisme ne pourra sérieusement évoluer que si on passe à la phase professionnelle et que l'on cesse à la fois dans notre réflexion, dans nos actions, dans nos projets, d'agir en amateurs. L'amateurisme doit être dépassé. Face à des partenaires professionnels, il faut aligner des équipes de professionnels (tant dans l'administration que dans le privé). Le développement du tourisme n'est pas uniquement la responsabilité du ministère de tutelle, de l'ONMT ou des opérateurs touristiques. C'est l'affaire également du guide, du chauffeur de taxi, du bazariste, mais également celle du douanier, du gendarme, du policier, de l'élu, entre autres, bref, du citoyen marocain. Si on le comprend et on l'applique, on aura mis le secteur sur les bonnes rails et participer sérieusement à son développement. Cela ne peut se faire en un seul jour, ni en une année, y penser et amorcer le processus avec la volonté et la perspicacité qu'il faut, est déjà un bon départ. Vaudrait mieux tard que jamais.
A bon entendeur, salut.
Mohamed RIAL
A suivre : Que pèse le produit marocain dans la balance touristique des pays émetteurs ?


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