Lors de la Journée d'étude sur la place de la femme journaliste dans le paysage médiatique, la ministre de la Famille, Bassima Hakkaoui, seule femme du gouvernement de Benkirane, s'est excusée de ne pouvoir prendre part à cette journée en raison d'un voyage à l'étranger. Les femmes journalistes seront-t-elles prêtes à lui pardonner de ne pas s'être fait représentée ? Mais, c'est l'attitude du Syndicat national de la presse marocaine qui a le plus «étonné». Son absence à cette rencontre n'est pas passée inaperçue. Comment peut-on expliquer l'attitude de cet organisme auquel adhèrent des dizaines de femmes journalistes marocaines ? Il faut juste signaler que l'événement a été organisé par le ministère de la Communication et par le Réseau des femmes journalistes au Maroc. Et donc, nous sommes tenter de penser que le syndicat serait frileux à toutes les actions initiées par les femmes. Un brin macho, le SNPM ?