Selon le magazine Capital, c'est la Délégation générale pour l'armement (DGA) qui est derrière l'échec de la non-vente des Rafale au Maroc. «Selon les dirigeants de Dassault, les haut fonctionnaires auraient ainsi tenté de forcer la main des Marocains pour leur faire accepter, dans un package de 2,6 milliards d'euros, tout un bric-à-brac militaire comprenant un bateau de guerre et des blindés, en sus des 18 Rafale», rapporte le mensuel, qui ajoute que «Serge Dassault et Charles Edelstenne, le président de Dassault Aviation, sont littéralement fous de rage contre la Délégation générale pour l'armement (DGA), dont la malheureuse initiative dans les négociations aurait, du coup, fait capoter le premier contrat à l'export de l'appareil français au bénéfice du groupe américain Lockheed Martin.