Sur l'année écoulée, le groupe bancaire a continué son accompagnement dans le cadre du programme Intelaka avec plus de 3700 dossiers validés pour un montant total de 628 millions de DH à fin décembre 2021. Bank of Africa poursuit son soutien à l'économie et aux agents économiques notamment à travers le programme Intelaka. Sur l'année écoulée, le groupe bancaire a ainsi continué son accompagnement avec plus de 3700 dossiers validés pour un montant total de 628 millions de DH à fin décembre 2021. Lancé en 2020, le programme intégré d'appui et de financement de l'entrepreneuriat « Intelaka » vise en effet à offrir une nouvelle génération de produits de garantie et de financement à destination des TPE, des jeunes porteurs de projet, du monde rural, du secteur informel et des entreprises exportatrices. Toujours sur le plan du financement, le groupe bancaire indique que plus de 13.600 dossiers « OXYGENE » et « RELANCE » ont été traités depuis 2020 pour un montant global de décaissement de 8 milliards de DH à fin décembre 2021. Lire aussi | Le Maroc prévoit une bonne récolte agricole en 2022 On note également l'engagement de la banque pour le soutien de l'entreprenariat avec l'accompagnement de près de 14.000 jeunes et porteurs de projet en 2021 (13 000 jeunes et porteurs de projet sensibilisés à l'entreprenariat, 900 TPME formées et une cinquantaine de startups incubées). Par ailleurs, en ce qui concerne les performances financières, Bank of Africa a terminé l'exercice 2021 sur une bonne note. Ainsi, le Résultat Net Part du Groupe ressort à 2 milliards de DH, en hausse de +172% par rapport à 2020, et de +47% retraité de l'impact du Don Covid. De même, le Produit Net Bancaire (PNB) s'élève à 14,6 milliards de DH, en progression de +4% par rapport à 2020. Au Maroc, le Produit Net Bancaire affiche une progression de +10% à 6,9 milliards de DH, contre 6,3 milliards de DH en 2020. Notons que la contribution aux bénéfices de l'activité au Maroc représente 51% du Résultat Net Part du Groupe à fin décembre 2021, contre 49% pour les activités à l'international, dont 41% pour les filiales africaines. Lire aussi | La reprise économique au Maroc entravée par les coûts énergétiques