Dans son édition du 18 septembre 2019, L'Economiste s'interroge sur la continuité du service de transport public après la fin du contrat de M'dina Bus. Les Casablancais ont zéro visibilité sur la suite des évènements à quelques semaines du départ de M'dina Bus. C'est le constat de L'Economiste qui s'intéresse au sujet. Le quotidien rappelle dans ce sens qu'aucun délégataire parmi ceux présélectionnés, à savoir RATP Dev, Alsa et Chennaoui, n'a pour l'instant été désigné pour reprendre le flambeau. De plus, un marché de 700 bus neufs a été lancé il y a quelques mois, sans suite. Actuellement, des bus en très mauvais état circulent à Casablanca, mettant en péril la vie des usagers et des piétons, en plus de bloquer la circulation en tombant en panne, constate le quotidien. Le quotidien s'interroge également sur l'avenir des salariés de M'dina Bus qui souffrent ces derniers mois du retard de paiement de leurs salaires. Plus de 3 300 salariés sont de plus en plus inquiets sur leur sort à l'approche de la fin du contrat de gestion déléguée de M'dina Bus, prévue fin octobre. Lire aussi : Grand Casablanca : terminus pour M'dina Bus Enfin, le quotidien précise que le dossier du délégataire du transport en commun a été repris par l'Etablissement de Coopération intercommunale (ECI) qui gère ce volet de la mobilité à la place de Casa Transports.