Ali Lmrabet a produit une vidéo où il vole au secours d'un individu soupçonné de chantage et d'extorsion de fonds. Comme tous les conteurs, il a des prétentions à être véridique. N'ayant pas de documents à citer, de preuves à fournir pour sauver le dossier Moumni, Ali Lmrabet s'est ingénié à tourner autour du pot avec du déjà-vu. Une chose a été dévoilée, toutefois: une détestable machination contre le Maroc où Ali Lmrabet se montre comme l'agent principal d'une coalition criminelle. Il y a du farceur, en Ali Lmrabet, qui s'entend à tirer parti de quelques affaires sulfureuses. La première, définitivement épuisée, celle de Zakaria Moumni, convaincu de chantage. La seconde, celle du couple Filali, champion de l'antisémitisme et de l'apologie de la haine. Ali Lmrabet a décidé de faire cause commune avec ces individus. En les défendant, il se défend. Ali Lmrabet s'imagine dire la vérité, tout en s'invitant au nid de la vipère. Néanmoins, il a échoué face au défi d'apporter ou de faire apporter par ses relais la moindre réponse un peu sérieuse aux preuves décisives qui ont été produites de toutes parts, contre l'authenticité des allégations de Zakaria Moumni. Cette solidarité criminelle s'établit alors que les quatre individus peinent à se hausser au-dessus de leur égo ou de leur bas intérêt, quatre coupables qui se coalisent pour mener complaisamment l'œuvre imbécile qu'on leur a proposée: cibler les institutions marocaines. Ali Lmrabet sort une vidéo sur le militant-escroc Zakaria Moumni, qui avait demandé plusieurs millions d'euros à un émissaire marocain, en 2013, pour ne pas aller loin dans son activisme malsain. La vidéo en question n'est qu'une tentative désespérée de Lmrabet de crédibiliser le narratif fallacieux de ce faux champion du monde, tout en prenant de la distance avec lui : «Zakaria Moumni n'est pas mon ami, mais un cas». La partie de l'affaire Moumni sur laquelle il nous serait le plus précieux d'être renseignés est aussi celle dont il ne nous apprend rien. Zakaria Moumni s'était vu remettre une enveloppe de 10 000 euros en coupures, le tout documenté par des enregistrements authentiques récemment diffusés. Longtemps, Moumni a prétendu que c'était l'émissaire qui lui avait proposé un accord financier en vue de régler son cas. La vérité est que la proposition émanait du premier, qui réclamait cinq millions d'euros et une rente mensuelle. Nous sommes en présence d'une doctrine implacable dans son entêtement. Et l'on sait comme elle s'est épanouie. Peut-être n'est-il pas inutile d'en regarder les commencements. On les trouvera dans le passé sulfureux d'un journaliste qui s'attaque au Maroc pour des raisons étriquées. La méthode de Lmrabet est de tirer de certaines affaires des éléments obscurs, de les raccorder par de courts résumés et de petits commentaires. L'insistance de Lmrabet sur sa soi-disant neutralité dans le traitement de l'affaire Moumni, n'est qu'un leurre. Ce controversiste, qui gagne sa vie tantôt par des subsides des services espagnols, un peu grâce aux piges réalisées pour le compte du site qatari « Middle East Eye » ou par des miettes de pétrodollars algériens de plus en plus rares, a vu sa crédibilité fortement ébranlée. Les promoteurs du média qatari basé à Londres commencent à douter sérieusement de l'intégrité professionnelle de Ali Lmrabet et de sa propension à utiliser leur support, pour brosser des portraits mensongers sur des pseudo-opposants marocains, qui ne sont en réalité que des mythomanes en puissance, sans foi ni loi. Avec une fausse habilité, avec une rouerie insigne, Ali Lmrabet joue et se joue de quelques affaires insignifiantes, avec une neutralité trompeuse dont il feint de modérer difficilement l'effusion. Durant une heure, Lmrabet n'a fait que ressasser mot à mot et à la virgule près, le narratif mensonger de Moumni, en s'appuyant sans aucune nuance, sur des éléments déjà dévoilés ou disséminés sur Internet. En choisissant de soutenir mordicus les prétendues causes de margoulins comme Moumni, Hajib et les Filali, Lmrabet vient de révéler à la lumière du grand jour, son amateurisme journalistique, qui a toujours fait fi de l'éthique professionnelle, et qui n'est nourri que par un seul et unique affluent : sa haine contre le Maroc. Lmrabet, en pleine ignominie morale, mêle des faits-divers à ses opérations manipulatrices. Du reste, il ne croit ni à Dieu ni au diable. Il a toujours été connu pour ses positions interlopes et ses accointances avec tous les milieux hostiles au Royaume, ainsi que par sa tendance à faire feu de tout bois pour écorner l'image internationale de son pays natal. Lmrabet vient une fois de plus, de prouver de la manière la plus flagrante, que ses soi-disant articles de presse ne sont qu'un tissu de mensonges, qu'il publie sans aucun recoupement ou investigation digne de ce nom, et sans même se soucier de porter dangereusement atteinte à la crédibilité du média, qui le rémunère pour sa piètre collaboration saisonnière. Lmrabet soutient sans sourciller, tout comme Moumni, que l'hôtel Tour Hassan de Rabat appartient au roi Mohammed VI au moment où il a été dûment établi que ce palace appartient depuis 1995 à l'homme d'affaires marocain Mohamed Benamour, PDG de la société touristique Kasbah Hotels Tours (KTH). Il ressasse sans cesse l'idée que Zakaria Moumni a réclamé « justice » avant d'obtenir des dédommagements. Une idée saugrenue que même son pote, Mustapha Adib, dénonce comme fausse. Lmrabet répète sans fournir de preuves que Moumni était dans son droit de réclamer une réparation matérielle, alors que ce dernier n'en a jamais fait la demande aux autorités marocaines. Il s'avère que Lmrabet s'est retrouvé au pied de mur, après avoir misé sur des escrocs patentés, dont il s'est évertué sciemment à enjoliver leurs mensonges, pour rester dans les bonnes grâces d'une certaine presse internationale, connue pour ses attaques récurrentes et sans à propos, contre le Maroc. Lmrabet est apparu cette fois-ci, exposant une carte du monde, affichant celle du Royaume du Maroc amputée de son Sahara pour plaire aux galonnés d'Alger, ses véritables maîtres. Au vu des relations qu'il entretient sur les réseaux sociaux (abonnés et abonnements mutuels sur Twitter et Facebook) et de la liste des comptes qui s'activent quasi instantanément à chaque apparition (vidéo Youtube), il s'avère que ce fourbe, et théoricien de la fourberie, sert la soupe qui nourrit les ennemis du Maroc. N'a-t-il pas soutenu les violeurs Bouachrine, Omar Radi et Slimane Rayssouni, lui le violeur qui a échappé à la justice en Argentine et qui a récidivé contre une journaliste à Casablanca (il paraît qu'elle n'est pas la seule) qui a finalement renoncé à le poursuivre en justice suite à l'intervention de plusieurs confrères. Mais là, c'est une facette de Lmrabet, et nous y reviendrons. Lui qui affiche clairement son soutien indéfectible à Moumni, notamment par le biais de tweets successifs renforcés par des publications sur son compte Facebook portant ouvertement atteinte aux institutions du Royaume, a opté pour l'expression «ces gens-là (Moumni et les Filali) ne sont pas mes amis, ce sont des dossiers». Cette affirmation vient en totale contradiction avec son activité durant les semaines écoulées, que ce soit sur les réseaux sociaux, ou sur le terrain : Lmrabet a affirmé être en France, lors d'un échange enflammé avec l'avocate américaine Irina Tsukerman, datant du 9 janvier 2021. Sa présence en France, en ces circonstances, renforcent les doutes quant à son rapprochement progressif des Filali, sur conseil de Zakaria Moumni. Et c'est probablement à cette date qu'il a pris une série de photos du domicile du journaliste français Nicolas Beau publiées par le terroriste Mohamed Hajib sur les réseaux sociaux. Nicolas beau, propriétaire du site d'information «Mondafrique» avait pourtant assuré le git et le couvert à Ali Lmrabet pendant deux semaine. Quelle reconnaissance! Après avoir relevé une baisse d'audience, tant sur les réseaux sociaux qu'au niveau des sites électroniques qui ont recours à ses écrits pour nuire au Royaume (ex : Middle East Eye), Lmrabet tente tant bien que mal de se convertir en vidéaste en brandissant le qualificatif de «journaliste d'investigation». Cependant, le discours redondant, ne faisant que relater les dires de ses « clients », discrédite totalement, non seulement le statut de «journaliste d'investigation» qu'il s'efforce de s'attribuer, mais aussi et surtout, l'objectivité à laquelle il tente de faire adhérer l'opinion publique. Et c'est ainsi que Lmrabet nous apparaît comme ce qu'il est en vérité, comme le représentant réel des intérêts d'une coterie qui vivote de sa petite haine contre le Maroc. On a cru longtemps qu'il y avait, et l'on croyait naguère encore qu'il y avait eu autrefois un Lmrabet honnête, scrupuleux, un peu niais, assez crédible. Le sournois prépare ses coups de force mais avec l'étrange parti de soutenir un escroc notoire et un couple d'antisémite. Il avait caché son jeu plusieurs dizaines d'années.