Dans son édition du jour le Washington post donne la parole à Shalev Hulio, directeur Général de NSO, la société qui commercialise Pegasus. Les révélations contredisent toute l'enquête de Forbidden Stories Shalev Hulio, a déclaré formellement au nom de NSO que : « nous pouvons confirmer qu'au moins trois noms dans votre enquête Emmanuel Macron, le roi Mohammed VI et [Le DG de l'OMS] Tedros Ghebreyesus – ne sont pas, et n'ont jamais été, des cibles ou sélectionnés comme cibles des clients du Groupe NSO. Plus encore, il annonce clairement que « la liste divulguée de 50 000 numéros n'est pas une liste de numéros sélectionnés pour la surveillance à l'aide de Pegasus ». Cette information a déjà fait l'objet d'un écrit ce mardi de la part de Thomas Clare, un des avocats de NSO, à un partenaire du projet Pegasus. « Il s'agit d'une liste de numéros que n'importe qui peut rechercher sur un système open source pour des raisons autres que la surveillance à l'aide de Pegasus. Le fait qu'un numéro apparaisse sur cette liste n'indique en aucun cas si ce numéro a été sélectionné pour la surveillance à l'aide de Pegasus ». Dès lors cette enquête apparaît bien comme un coup de bluff : du sensationnalisme, un postulat erroné dès le départ. Une campagne diffamatoire pour écorner l'image du Maroc qui commence à peser sur la scène internationale, entre autres pays et personnalités. NSO: "we can confirm that at least three names in your inquiry Emmanuel Macron, King Mohammed VI, and [World Health Organization Director General] Tedros Ghebreyesus — are not, and never have been, targets or selected as targets of NSO Group customers." https://t.co/Oxolzfs9c8 https://t.co/YclBgqe64Q — Mathieu von Rohr (@mathieuvonrohr) July 20, 2021