Aminatou Haidar, séparatiste sahraouie qui ne voit d'autre solution au dossier du Sahara que la guerre, fait partie de la liste des noms proposés pour le prix Nobel de la paix 2021. L'information de cette nomination qui a été pauvrement médiatisée, a été fortement relayée par des médias algériens. Les supports médiatiques algériens prennent à tâche de véhiculer la propagande du front « Polisario » qui a proposé la candidature de celle qui « prône la reprise des armes pour la libération du Sahara » au prix Nobel de la paix, en induisant ainsi l'opinion publique en erreur sur les chances de cette pseudo militante des droits humains à remporter ce prestigieux trophée. Il serait naïf d'imaginer que le comité Nobel ignore tous les activistes blanchis sous le harnois pour élire Aminatou Haidar ou que simplement que le nom de cette dernière soit cité parmi les nominés lors de la cérémonie de remise de ce prix. Avec un minimum de recherches et d'investigation, on découvrira que le nombre de candidats dépasse largement les 4 000 personnes réparties sur l'ensemble des pays à travers la planète. Soulignons dans ce cadre que tous les parlementaires du monde, les anciens lauréats, les instances et les ONG internationales peuvent proposer la personne qui leur paraît adéquate. Ceci étant dit, qui a donc pu proposer Haidar ? Est-ce les députés algériens ou sud-africains? Ou encore l'ONG Robert Kennedy, dirigée par son amie Kerry Kennedy ? La population sahraouie vivant dans les camps de Tindouf, contrôlés par le front « Polisario », banalise la candidature de cette belliciste. Plusieurs Sahraouis persistent et signent qu' »Aminatou Haidar a été nominée soit par un parlementaire algérien, soit par la Fondation Kennedy et non par la Fondation Nobel ». Aminatou Haidar, la prétendue activiste associative, n'a pas hésité, lors de toutes ses sorties médiatiques, à préconiser la reprise des armes pour la libération du Sahara. En novembre 2020, lors d'un entretien accordé à une chaîne de télévision algérienne, elle a réclamé que la dernière décision des Nations unies « n'avait laissé aucun choix... que de reprendre violemment les hostilités et rompre le cessez-le-feu en vigueur depuis 1991 ». C'est au cours du même mois qu'elle a déclaré dans une interview à la revue suisse Le Temps que « la guerre est la seule et unique option » à la question du Sahara. D'ailleurs, Aminatou Haidar n'a pas hésité à sacrifier son fils mineur pour servir les agendas de la guerre en l'envoyant au camp des milices du « Polisario » pour s'entraîner sur les procédés de la guérilla. Sacré instinct maternel ! A ce titre, les photos montrant Haidar aux côtés de Brahim Ghali lors des manœuvres militaires du « Polisario » à Tindouf, diffusées par la chaîne de télévision algérienne, font montre du penchant de cette sournoise pour la guerre et la violence. Aminatou Haidar a également joué un rôle important dans l'incitation au meurtre des agents des forces de l'ordre marocains dans le tristement célèbre camp de Gdeim Izik. Des milices du « Polisario » ont brutalement assassiné onze agents des forces de l'ordre avant d'exhiber leur corps dans des mises en scène effroyables. Est ce que le meurtre, l'exhibition de dépouilles, l'utilisation d'armes blanches et à feu et la lutte armée peuvent être considérés comme des gestes pacifiques ? Une question ouverte au garant d'Aminatou Haidar au nom de la défense des droits de l'Homme. Celle décrite par la machine de la propagande algérienne et du « Polisario » comme une héroïne est une opportuniste qui s'en met plein les poches grâce à son activisme. Preuve en est, s'il en faut encore une, le chèque de 500 000 dirhams qu'elle a reçu de la part de l'Instance équité et réconciliation (IER). Celle qui s'est créé un parcours d'icône sur la base de la manipulation de l'opinion publique internationale a également reçu des financements colossaux de la part des services de renseignement algériens, qui lui ont assigné comme mission d'ébranler la stabilité marocaine. D'ailleurs, le départ de Haidar du CODESA (Collectif des défenseurs sahraouis des droits de l'Homme) était intervenu à la suite de son interpellation par les membres de ce collectif sur le sort des financements dont elle bénéficiait. Si Aminatou Haidar persiste à se présenter comme étant une militante des droits de l'Homme, qu'en est-il des violations flagrantes observées dans les camps de Tindouf, une zone sinistrée qui ne cesse d'être pointée du doigt dans chaque rapport des Nations unies ? Celle qui a su surfer sur la vague des droits de l'Homme pour construire un réseau international avec pour seul but de nuire à l'image du Maroc, se soucie peu de la vie des gens. Celle qui prétend défendre les droits de l'Homme a vainement tenté d'embarquer dans un avion à destination des îles Canaries en dépit de sa contamination à la Covid-19, comme en attestent les résultats de son test virologique publiés par plusieurs médias internationaux. La simple présence du nom d'Aminatou Haidar sur la liste des candidats pour le prix Nobel de la paix interroge sur le degré de transparence et sur les véritables soubassements de cette candidature. Pour ne citer que quelques exemples on retrouve parmi les nominés du prix Nobel de la paix le Duce Benito Mussolini en 1935, le tyran rouge Joseph Staline en 45 et en 48 et, enfin, le nazi allemand Adolf Hitler en 1939, entre autres ...