Lors de sa réunion périodique tenue ce 6 octobre, le bureau politique du Parti du Progrès et du Socialisme a débattu plusieurs plusieurs sujets inscrits à l'ordre du jour, notamment ceux qui concernent l'intégrité territoriale, le comité de veille, les élections et l'enseignement. Dans un communiqué publié à l'issue de cette réunion le bureau politique a mis l'accent sur les dernières développements de la question de l'intégrité territoriale et enregistre positivement la confirmation de nouveau par le Secrétaire général de l'ONU, dans son dernier rapport au Conseil de Sécurité à propos du Sahara marocain, des critères de recherche de la solution politique qui doit être réaliste, pratique, durable et fondée sur le consensus. C'est justement ce que matérialise l'initiative d'autonomie audacieuse et crédible que notre pays présente avec sincérité et bonne foi, conformément à l'approche politique adoptée exclusivement de la part de l'Organisation des Nations-Unies. Il a aussi souligné que le règlement de ce conflit artificiel autour du Sahara marocain ne peut avoir lieu que dans le cadre de l'entière souveraineté du Maroc sur son Sahara, objet d'une unanimité nationale constante Concernant les dispositions nouvelles du Comité de veille économique, les membres du bureau politique ont vivement apprécié les dernières mesures annoncées par le comité de veille économique (CVE) au cours de sa dernière réunion, relatives au soutien à l'activité économique et à la préservation des postes d'emploi dans certains secteurs vulnérables endommagés.Ils demandent en outre l'extension de ces mesures pour englober l'ensemble des autres secteurs économiques qui ont été également affectés par la crise du Covid-19. Par ailleurs, le bureau politique se félicite de l'approche participative poursuivie concernant la révision du système juridique encadrant les élections. Il a appelé les partis politiques nationaux à parvenir à un large consensus au sujet de ce système, à travers la recherche de formules communes par rapport aux quelques points de divergences en suspens. A ce propos, il a exprimé sa détermination à poursuivre ses efforts de conciliation pour rapprocher les points de vue divergents. Quant au secteur de l'enseignement, ledit bureau politique a tenu à attirer l'attention sur la tension, appelée à s'exacerber, que connait le secteur de l'enseignement ainsi que sur les formes de protestations menées par les travailleurs de ce secteur vital pour défendre leurs revendications légitimes, et a appelé le gouvernement à entamer le dialogue nécessaire avec les représentants des femmes et des hommes du secteur de l'enseignement, toutes catégories confondues, et d'œuvrer pour la recherche des solutions appropriées aux questions liées à l'amélioration de leur situation, en partant du fait qu'ils constituent la pierre angulaire dans la réforme de l'enseignement.