La semaine dernière a été marquée par la diffusion d'une information, démentie sur le champ par l'argentier du pays, sur un éventuel appel par le Trésor au marché international des capitaux. La semaine dernière a été marquée par la diffusion d'une information, démentie sur le champ par l'argentier du pays, sur un éventuel appel par le Trésor au marché international des capitaux. Par ailleurs, M. Oualalou a souligné que le Maroc attend une bonne opportunité pour lancer un emprunt obligatoire international sans donner plus de détails. Le ministre des Finances a précisé que les conditions actuelles sur les marchés des capitaux internationaux ne sont pas favorables. Cet emprunt porte sur un montant de 500 millions de dollars au titre de l'exercice budgétaire 2002. Le montant en question intègre, vraisemblablement, des financements bi et multilatéraux d'appui, de projets ou de réformes sectorielles. Estimé à 5,6 milliards de DH au titre de 2002 ce faisant, cela constituerait un facteur expansif en faveur de la liquidité intérieure et un soutien à la demande du marché en instruments de placements.