Une ONG a vigoureusement dénoncé, lundi à Genève devant la Commission des Droits de l'homme des Nations unies, "les atrocités" et " violations barbares" commises par le "polisario" dans les camps de Tindouf, appelant la Communauté internationale à oeuvrer à la libération des 408 Marocains détenus dans ces camps et à lever le carcan autour des populations qui y vivent. Une ONG a vigoureusement dénoncé, lundi à Genève devant la Commission des Droits de l'homme des Nations unies, "les atrocités" et " violations barbares" commises par le "polisario" dans les camps de Tindouf, appelant la Communauté internationale à oeuvrer à la libération des 408 Marocains détenus dans ces camps et à lever le carcan autour des populations qui y vivent. Devant la 61ème session de la Commission, au nom de l'ONG "Internationale démocrate du centre" (IDC), Aamar Cheikh a dénoncé d'emblée les pratiques inhumaines du "polisario" qui, a-t-il affirmé, "continue de bafouer les droits de l'Homme les plus élémentaires reconnus par la Communauté internationale". A ce jour, a rappelé le délégué de l'ONG, 408 détenus marocains "continuent, depuis plus d'un quart de siècle, de subir des atrocités et sévices indescriptibles".