Dans notre édition du mardi 20 août, une malencontreuse coquille s'est glissée dans un paragraphe du texte de Gabriel Banon, intitulé «Les milliards d'Arafat». Dans notre édition du mardi 20 août, une malencontreuse coquille s'est glissée dans un paragraphe du texte de Gabriel Banon, intitulé «Les milliards d'Arafat». Il fallait lire : «On ne connaît au Raïs aucun ranch aux Etats-Unis ou ailleurs,on ne lui connaît aucune propriété dans la Côte d'Azur ou autres lieux de la jet-set, on ne lui connaît aucun yacht dans aucun port de la planète, sa garde robe est célèbre par sa simplicité et son uniformité. Sa sobriété est légendaire et la seule maîtresse qu'on lui connaît est la cause palestinienne.» Que l'auteur de l'article, M. Banon, et nos lecteurs nous pardonnent cette erreur…