Le président de la FIFA, Joseph Blatter, est un Suisse qui n'est pas du tout aimé par les Européens. Il faut dire qu'il leur rend la pareille avec autant de virulence et d'arrogance. N'est-ce pas lui qui a mis à la porte son compatriote, le secrétaire général de la FIFA, pour avoir rédigé un rapport accablant contre lui ? N'est-ce pas, encore lui, qui s'est joué de l'UEFA, en se faisant réélire à la tête de la FIFA malgré l'opposition farouche de la majorité de ses membres ?… Le président de la FIFA, Joseph Blatter, est un Suisse qui n'est pas du tout aimé par les Européens. Il faut dire qu'il leur rend la pareille avec autant de virulence et d'arrogance. N'est-ce pas lui qui a mis à la porte son compatriote, le secrétaire général de la FIFA, pour avoir rédigé un rapport accablant contre lui ? N'est-ce pas, encore lui, qui s'est joué de l'UEFA, en se faisant réélire à la tête de la FIFA malgré l'opposition farouche de la majorité de ses membres ? Blatter a été accusé de corruption et de malversations financières par ses pairs du comité exécutif de la FIFA lesquels ont même déposé une plainte contre lui. Mais en vain. En vieux renard du temple du football, Blatter a sauté tous ses obstacles pour conserver son siège de baron. C'est lui le seul commandant à bord et il n'oubliera jamais l'insurrection de ses subordonnés et autres membres d'équipage. La coupe du monde allait apporter son lot incroyable de surprises comme si Blatter était aussi un sorcier sur le terrain. Comme par hasard, tous ses farouches ennemis ont été éliminés précocement y compris les tenants du titre, par des équipes sans passé glorieux en football. C'est peut-être une simple coïncidence, mais tous ceux qui ont voté contre Blatter ont été lésés, d'une manière ou d'une autre par l'arbitrage. Les pays européens comme L'Espagne, l'Italie, la Belgique la France ont subi la foudre de la partialité arbitrale. Seule l'équipe allemande a échappé à cette règle. Et comme par hasard, les Allemands ont voté pour la réélection de Joseph Blatter. Simple coïncidence aussi, l'équipe allemande a bénéficié d'un apport inestimable des arbitres comme si elle devait être récompensée. Cette équipe ne serait, peut-être, jamais arrivée en finale si l'arbitrage n'avait pas fermé les yeux sur un penalty, on ne peut plus clair, en faveur de l'équipe des Etat-unis. Des penalties qui furent décisifs pour le parcours des Allemands qui faut-il le rappeler ont peiné pour se qualifier à la phase finale de la coupe du monde. Les Allemands sont vraiment très chanceux car après avoir arraché leur qualification au Mondial grâce à un match barrage, ils se retrouvent en finale de la coupe du monde grâce à l'arbitrage. L'histoire d'amour entre le président de la FIFA et l'Allemagne a commencé à Zurich avec la mascarade votative pour l'organisation de la Coupe du Monde 2006. Depuis, aussi Blatter que la fédération allemande se défendent mutuellement dans le meilleur comme dans le pire quitte à faire fi de l'illégalité. Simple coïncidence.