Amr Diab, roi de la pop orientale Le plus célèbre chanteur du monde arabe, Amr Diab, revient de nouveau avec son nouvel album qui s'intitule « Tamini » (Rassure- moi). C'est un album qui contient plusieurs chansons pleines d'amour et d'emotion. Citant parmi eux la chanson «Ya rit senak» qui comprend un mélange d'amour et de souffrance entre Amr et sa bien aimé aussi «Law ader» ( Si tu peux) qui nous donne une leçon sur la fidélité sans oublier la chanson «wehyat Einik» c'est un titre bien mystérieux pour un disque qui fait encore la part belle aux curiosités musicales et autres ambiances atypiques. À titre indicatif, avec la sortie de «Tamally maak», le 17 juillet 2000, la popularité d'Amr Diab s'accentue augmente. La vidéo clip est tournée en République Tchèque. Elle est considérée par Amr Diab comme étant la plus réussie. Déjà, il apparaît avec un nouveau look et un style nouveau. Avant la sortie d'un nouvel opus, l'artiste s'essaie à l'interprétation en espagnol sur un album-compilation séduisant. Durant sa jeune carrière, Olivia Ruiz a su préserver à chaque concert une sorte de magie partagée avec le public, qui donne à sa musique et à sa personne un caractère très attachant. Avec «La Chica Chocolate», elle continue sur sa lancée tout en cédant à la mode du «best of», en proposant cette compilation de titres agrémentée de morceaux inédits interprétés dans la langue de Cervantes. Celle qui fut découverte dans l'émission de télé-réalité «Star Academy» en est donc à son quatrième disque et prévoit une année 2009 mouvementée puisqu'un nouvel album devrait être commercialisé. Bien sûr, «Non-dits» et «J'aime pas l'amour» sont d'excellentes occasions de retrouver les rythmes singuliers de la chanteuse. Après deux ans de disparition, l'artiste de sensation revient avec un nouvel opus plein de sensation intitulé «Eftaraqna» (on est séparé) composé par Mounir Abouassaf et distribué par Bilal Zin. C'est une chanson pleine d'émotion ,d'amitié et de souvenirs d'enfance. L'artiste de la romance a fait plusieurs chansons aux côtés de la chanson «Eftaraqna». Le célèbre chanteur Libanais a participé à de nombreux festivals en Egypte, liban, Koweït, Emirats, Palestine et au festival Mawazine au Maroc. Durant toute sa carrière musicale, Fadel a remporté plusieurs prix arabes grâce de ses célèbres chansons. Il est devenu l'un des plus grands chanteurs arabes de la romance. Fadel aime pratiquer la pêche et aime également jouer au piano et pratiquer tous les sports nautiques. Pour ce nouvel album, la chanteuse Jennifer Ayache a écrit la majorité des textes et rejoint ses camarades pour livrer un «Lova Lova» qui devrait une fois encore séduire les fans de la première heure. Pendant sa dernière série de concerts, la formation a avoué avoir écouté en boucle Dépêche Mode, The Cure et bon nombre de groupes estampillés new wave. Cette influence se ressent fortement et Superbus glisse ainsi lentement vers un son davantage pop électro que pop rock. Le début du titre «Keyhole» rappelle d'ailleurs étrangement celui de «Sweet Dreams» de Eurythmics. Avec des refrains efficaces et entêtants à l'image de son premier single «Addictions», la joyeuse troupe propose encore des titres calibrés qui raviront sans soucis le public «teena-ger». Pour son quatrième opus, la formation de Jennifer Ayache a décidé de se lancer dans une pop électro très teintée eighties, qui lui va plutôt bien. Après une année 2007 marquée par une tournée triomphale de près d'une centaine de dates, d'une Victoire de la musique et de chiffres de ventes conséquents pour son opus «Wow» – près de 300.000 exemplaires, Superbus se classe désormais comme un poids lourd de la scène pop rock française. Superbus se classe ainsi définitivement comme le groupe de toute une jeune génération comme Kyo avait pu l'être notamment en son temps. Entre ballade étrange et expérimentation musicale, ce duo féminin prouve que la scène française regorge de belles surprises. Derrière Mansfield. TYA se cachent deux jeunes femmes : Julia Lanoë et Carla Pallone. Leur rencontre s'est faite sur les bancs de la fac et la complicité artistique s'est tout de suite installée comme une évidence. Après un premier opus, «June», paru en 2005, la violoniste (Carla) et la chanteuse (Julia), reviennent avec « Seules au bout de 23 secondes ». Un titre bien mystérieux pour un disque qui fait encore la part belle aux curiosités musicales et autres ambiances atypiques. Avec Mansfield. TYA, on se dit d'entrée de jeu que Cat Power ou encore PJ Harvey ne sont jamais très loin. Autant à l'aise en français que dans la langue de Shakespeare, les deux artistes proposent un univers où les mélodies et l'écriture s'entrechoquent avec douceur. La charmante Anglaise revient avec un deuxième opus toujours aussi pop mais bien plus acidulé. Il y a trois ans, le grand public découvrait la jeune Lily Allen, érigée nouvelle reine d'une pop anglaise gentillette et décomplexée, aux paroles parfois crues mais toujours drôles, remettant bien souvent à leur place les garçons peu scrupuleux avec la gent féminine. Après quelques années marquées par diverses affaires placardées en Une des tabloïds britanniques, l'artiste fait de nouveau l'actualité avec sa première passion : la musique. Et il faut bien dire qu'elle n'a rien perdu de son mordant pendant cette pause artistique… Pas de doute, le piquant et les ritournelles pop de Lily Allen sont de nouveau là! Si l'esprit rose-bonbon dans lequel baigne la quasi-majorité des titres pourra rebuter les plus sceptiques, les amateurs sauront reconnaître une fois de plus la patte de la chanteuse : des textes plein d'humour notamment sur un «Not Fair» aux accents country inattendus où elle règle ses comptes avec un jeune homme n'ayant réussi à la faire «grimper aux rideaux».