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Marche des jeunes à Agadir : Manifestation pacifique et civique
Publié dans Albayane le 22 - 02 - 2011

Dans le sillage des mouvements des jeunes à travers le royaume, Agadir a pareillement connu une marche dont le nombre des participants sont estimés à environs 2500 manifestants.
Brandissant des slogans relatifs à l'amélioration des conditions de vie et la lutte contre la corruption et les disparités sociales, ces jeunes ont suivi un parcours menant l'entrée de la ville au sud où ils ont rencontré leurs homologues provenant d'Inezgane pour continuer leur circuit en ville à hauteur de 17h. Il faut bien dire que, tout en long de cette marche pacifique, on n'a signalé aucun incident ni débordement, sous les yeux des services de l'ordre très respectueux de cette manifestation légitime. On n'a même pris l'initiative du côté des manifestants, de nettoyer la place Al Amal après avoir évacué les lieux, en signe de civisme. On n'a donc signalé aucun dérapage durant tout le parcours qui a duré plus de sept heures d'affilée, ce qui augure d'un haut degré de maturité de la part de ces jeunes qui se sentent, il est vrai, très frustrés et scandalisés par les manœuvres abjectes dont font preuve les poches de résistance du pays qui continuent notre pays, en pleine expansion, vers le bas ; Les jeunes ont alors exprimé en toute liberté leur malaise et cette une message direct lancé aux responsables qui doivent faire montre d'un grand esprit d'écoute de toutes ces doléances sommes toutes légales et justes. On ne peut hypothéquer tout l'avenir de générations avides de changement pour une poignée nantis opportunistes qui s'accaparent les richesses du pays.
Point de mire
Une impunité qui fait mal
L'opération nationale «villes sans bidonvilles» avait constitué un sérieux déclic pour libérer les cités du royaume de l'anarchie et de la promiscuité urbanistiques. Il est bien vrai que cette entreprise avait, tout de même, déclenché un véritable ébranlement tant au niveau des décideurs que des citoyens. On se rappellera qu'Agadir, à titre d'exemple peut-être plus criant qu'ailleurs, la prolifération des constructions illicites avait battu tous les suffrages, en parfaite connivence entre les autorités locales et les élus d'antan. A Anza, à Bensergao tout comme à Agadir centre, au dépotoir public et aux piémonts, cette hécatombe prenait de l'ampleur à tel point qu'on se retrouvait à la merci d'une machine épouvantable secrétant un réel marché regroupant de bas d'énergumènes des deux parties en question. L'exécution de cette démarche nationale de lutte contre les bidonvilles avait trouvé beaucoup de peine en raison du cumul de plus de deux décennies de débandade éhontée et de soudoiement infâme. Cependant, avec l'ire royale jetée sur les autorités locales à cause de leur nonchalance, à chaque fois que le souverain se rend dans la capitale du Souss, on se précipita alors de se lancer dans l'épreuve de la démolition aveugle et impitoyable. De milliers de bidonvillois se trouvent, du jour au lendemain, sans abri et en proie aux affres de la vie quotidienne. Aujourd'hui encore, des populations continuent à vivre le calvaire de ces mesures drastiques, notamment à Anza où des centaines de victimes observent, depuis quelques jours, un sit-in illimité, à cause des tergiversations des autorités compétentes par rapport à leur recasement promis. Cette manifestation a coûté à leurs auteurs des assauts musclés de la part des services d'ordre qui ont également molesté un vice-président de la commune d'Agadir accouru sur les lieux pour s'enquérir des incidents en place. On se souviendra des mêmes procédés entrepris lors des opérations de destructions ayant été entamées dans pas moins de sept bidonvilles à Anza. Depuis lors, les familles évacuées se dispersaient dans les environs cherchant refuge, en pleine saison scolaire. Certes, le combat menu à brides abattues contre les bidonvilles était payant puisque la quasi-totalité de ces masures ont disparu en l'espace de quelques semaines. Toutefois, on n'a fait en fin de compte, pour la plupart des cas, que déplacer certains bidonvilles vers d'autres lieux où l'insalubrité bat son plein. D'autres sont restés sur les lieux, à Taddart, attendant les promesses qui tardent à venir. Enfin, si l'on est entièrement pour l'éradication des bidonvilles en vue d'une urbanisation quiète et décente, on condamnera sans ambages la manière avec laquelle les choses ont été concrétisées aux dépens de la sécurité et le bien-être des citoyens. A propos, les véritables coupables de cette bavure incommensurable, ceux qui ont «autorisé», dans l'illicité, à coups de millions, les constructions illégales et ceux qui ne se soucient que de la collecte des voix électoralistes, évoluent toujours dans l'impunité. C'est la plus grande insulte perpétrée contre toutes ces épreuves réhabilisatrices.
Saoudi El amalki
Pignon sur rue
Les jeunes parlent :
Cette marche nous fait penser à celle de Casablanca, il y a quelques mois. Tout le monde est attaché à la monarchie et la cause nationale
On fait le procès du gouvernement de Abbas Fassi, car les situations sociales ne sont pas brillantes. Il faut que celui-ci bouge. le premier ministre est vivement interpellé
On ne veut que cette marche des jeunes soit pour des fins partisanes personnelles. Ce mouvement est celui des jeunes du 20 février
Les jeunes sont assez mûrs pour qu'on se substitue en leurs tuteurs. On ne veut pas de casse ni d'accrochage avec le service d'ordre qu'on salut vivement pour son respect au droit de manifester
Nous ne sommes ni l'Egypte ni la Tunisie. Nous sommes le Maroc que nous chérissons et que nous voulons qu'il soit encore mieux
Nous luttons pour la matérialisation de nos demandes; le travail pour tous, l'école performante, la santé au service des populations, le droit à la vie digne et décente.
Session de formation du PPS à Agadir
Consolider l'outil partisan
Conformément à la feuille de route prônée par le parti dont le pôle de la formation occupe une place centrale et en vue d'initier les nouveaux adhérents aux principes et valeurs propres au Parti du Progrès et du Socialisme, la section locale du parti à Agadir a tenu, dimanche dernier au village de l'électricien COS/ONE, une session de formation en direction d'une quarantaine de nouveaux membres qui viennent d'adhérer à cette formation politique. Dans son intervention scindée en deux volets, Ismail Alaoui, président du conseil de la présidence, a passé en revue les différentes péripéties de l'histoire du Maroc et les diverses étapes du Protectorat et de l'Indépendance. Ce préambule riche en renseignements et enseignement a constitué une entrée pertinente pour enchainer avec l'apparition du Parti Communiste Marocain (PCM), puis le Parti du Libération et de Progrès (PLS) et le Parti du Progrès et du Socialisme (PPS).
Une belle histoire jonchée de rebondissements caractérisés par les décisions d'interdiction de l'activité du parti dont les auteurs sont aussi bien des internes qu'externes. Malgré toutes ces tentatives d'anéantissement destinées au parti, celui-ci demeure inébranlable et poursuit sont bonhomme de chemin vers la concrétisation des objectifs assignés, tout en adaptant au fil du temps, ses procédés d'action aux réalités marocaines. Au cours de la séance d'après-midi, Abdelahad Fassi Fihri, membre du bureau politique, responsable du pôle de la formation, a mis en relief, d'une manière concise et concentrée, les différents documents du 8ème congrès national du parti, particulièrement les thèses politiques et le programme économique et social. Ces interventions ont été suivies au fur et à mesure de débats animés par l'assistance qui fait montre d'un grand intérêt pour ce genre d'activité visant le renforcement des acquisitions de l'élément humain pour une meilleure performance de l'outil partisan?
S.E
Poème :
Tous ces bateaux qui quittent le port «dédié à mon frère Rachid»
Homme libre toujours tu chériras la mer
Baudelaire
Tous ces bateaux qui quittent le port
Qu'ils soient paquebots
Ou frêles esquifs
Me ravissent le cœur
En silence
L'enveloppent dans leurs voiles
Et prennent le large
Me laissant seul
Indécis et craintif
Avec ma rancœur
Je ne céderai pas à l'immobilité
Je me ferai marin
A bord!
Emmenez-moi
Loin de mes émois
Quittez le port
A bâbord, à tribord
A moi la grandeur océane!
Tous ces bateaux qui quittent le port
Me percent le cœur
En silence
L'horizon me pleure
L'océan se déchire
Et me fait frémir
Les mouettes gémissent
Les digues se brisent
Et la jetée me fracasse
Je ne céderai pas au béton
Je me ferai capitaine
A bord!
Emmenez-moi
Loin de mon effroi
Quittez le port
A bâbord, à tribord
A moi l'immensité océane!
Tous ces bateaux qui quittent le port
Me déchirent le cœur
En silence
Me laissant seul
Avec ma solitude
Ma nausée, mon incertitude
Mon mal de mer, mon aigreur
Ma nostalgie, ma langueur
Je ne céderai pas à la noirceur
Je me ferai amiral
A bord!
Emmenez-moi
Loin de mon moi
Quittez le port
A bâbord, à tribord
A moi la majesté océane!
Tous ces bateaux qui quittent le port
Me font mal au cœur
En silence
Faisant fi de ma volonté
Impuissant
Je les regarde partir fièrement
Emportés par la mer et le vent
Et je souffre en silence
J'ai de la peine
L'écho de leurs sirènes
Libère mon âme captive
Et mon imagination créative
Je dévoilerai le secret inouï
De cet univers infini:
La mer!
Je ne céderai pas à l'infirmité
Je me ferai matelot
A bord!
Emmenez-moi
Loin de moi
Quittez le port
A bâbord, à tribord
A moi la liberté océane!
Tous ces bateaux qui quittent le port
Me brûlent le cœur
En silence
Emportant mon rêve d'enfant
A la quête de l'île mystérieuse
A la quête des océanides fabuleuses
A la quête de belles aventures
Avec cette soif inassouvie de partir
Vers un merveilleux avenir
Je ne céderai pas à la fatalité
Je me ferai mousse
A bord!
Emmenez-moi
Loin de chez moi
Quittez le port
A bâbord, à tribord
A moi les merveilles océanes!
Tous ces bateaux qui quittent le port
M'embrasent le cœur
En silence
Me noyant dans mon chagrin
Ils noircissent mon destin
M'abandonnent comme un chien
En partant vers l'incertain
Sans me tendre la main
Je ne céderai pas à la défaite
Je me ferai pirate
A bord!
Emmenez-moi
Loin de l'asphalte
Ma destinée sera trépidante
Ma vie sera vivante
Larguez les amarres
Levez l'ancre
Déployez vos voiles
Voguez!
L'horizon me sera clément
Généreux me sera l'océan
Aucune tempête, aucun ouragan
A moi la splendeur océane!
...
Et jamais plus
Je n'attendrai le bonheur
En voyant tous ces bateaux
Quitter le port
En silence.
Par Mostafa HOUMIR
Faculté des lettres d'Agadir/conférence
L'africanisme dans sa nouvelle version
Le Département des Etudes Hispaniques, relevant de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines, Université Ibn Zohr d'Agadir organise les 21 et 22 février 2011 deux journée culturelles étalées comme suit :
21 février à 10h, salle 46 : table ronde qui réunira d'émminents professeurs spécialistes des relations hispanomarocaines pour la présentation du livre du professeur Youssef Akmir «De Algeziras à Tetouan : 1875-1906, origines du protectorat espagnol au Maroc ». Les intervenants sont : - María Rosa de Madariaga, Mohamed Laârbi Messari et Eloy Martín Corrales.
22 février à 10h, amphi 4 : Conférence de Mohamed Laârbi Messari sur «L'Africanisme dans sa nouvelle version» qui traitera l'actualité des relations hispano-marocaines et le conflit du Sahara
Régionalisation élargie
S'approprier toutes les donnes d'adéquation
« La régionalisation est considérée comme un prélude fondamental de réformes essentielles menant à une véritable révolution en termes de gouvernance et de répartition de richesses vers une nation prospère et performante », souligne Abdelahad Fassi Fihri, membre du bureau politique du PPS, lors d'une journée d'étude organisée par la section locale d'Agadir du parti, samedi dernier au complexe Mohamed Jamal Adorra, autour de la régionalisation élargie. Devant une imposante assistance, pas moins de cinq intervenants ont pris part à ce colloque dont les échanges de part et d'autre étaient pertinents. Après les allocutions d'ouverture au cours desquelles l'accent a été mis sur l'importance de ce débat régional qui advient dans le processus du défrichage relatif au meilleur style de régionalisation convenant à la réalité marocaine. Le système actuel de régions révélant ses limites, les mutations profondes que connait le pays à plus d'un registre et les développements de l'intégrité territorialité demeurent, au fait, des atouts incitatifs à un modèle de régionalisation répondant à toutes ces évolutions, dans le contexte de mondialisation de plus en plus interpelant. En sa qualité de modérateur de cet important séminaire qui regroupe une panoplie d'enseignants chercheurs, Mohamed Yaouhi a donné la parole aux intervenants dont les communications s'avéraient, en fait, aussi intéressantes que complémentaires. Tout en axant son intervention sur les nouvelles générations de réformes que le pays entame au niveau des grands chantiers inhérents au domaines institutionnels, économiques, sociaux et culturels, Abelahad Fassi, directeur adjoint de l'Institut Supérieur de l'Administration estime que la régionalisation reste, particulièrement, un axe central d'une nouvelle génération de réformes. Pour sa part, Brahim Goumghar, enseignant à la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales d'Agadir s'est surtout focalisé sur les perspectives de l'organisation régionale au Maroc, à la lumière de l'expérience actuelle, considérée sa fonction comme similaire à celle de la collectivité locale. Les spécificités et les fondements de la nation imposent, effectivement, une nouvelle expérience plus appropriée, susceptible d'assouvir toutes les attentes. De son côté, Mohamed Jadaoui, professeur à l'Ecole Supérieur de Technologie à Agadir s'est lancé, de premier abord, dans la détermination de l'approche conceptuelle de la région, pour définir, par la suite, les recoupements à établir en corrélation avec l'aménagement du territoire. Cette démarche suppose la mise en œuvre d'outils géographiques et politiques en vue de mettre en place une régionalisation agissante. L'intervention Mohamed Bouaziz, enseignant à la faculté des sciences juridiques, économique et sociales d'Agadir était axée sur la dynamique de l'entreprenariat dans la région Souss Massa Drâa, au sujet de laquelle il avance, tout d'abord, des éléments nécessaires des infrastructures de base, des structures d'appui, de la qualité des ressources humaines, de la dynamisation des acteurs locaux et régionaux, de la reconnaissances des affaires propres de la région…, pour prétendre un développement local et régional, la création d'emplois, l'amélioration de niveau de vie, la participation active dans la promotion de l'économie nationale. Enfin, Mohamed Aderdar, enseignant chercheur dans la même faculté a insisté sur l'importance de la montagne dans le nouveau chantier de la régionalisation avancée. Pour lui, on ne peut parler de réforme de cette envergure sans valoriser la place du relief montagneux qui s'insère dans un environnement rural fondamental.
S.E
A chaque jour suffit sa peine
Agadir, première station balnéaire du royaume, l'une des plus belles baies du monde. Mais, on n'est pas sans savoir que la capitale du Souss c'est pareillement 80% des patelins exclus et précaires du monde rural. De Imsouane à Idmaine, en passant par Aziar, Tadrart, Aquesri, Tiqui, la vie est dure et et les populations sévissent sous le fardeau de la privation. Les Institutions et le Monde associatif se doivent de se pencher sur plus des trois quart de la superficie de la préfecture, à l'image de cette action associative qui tend à atténuer ces sévices dans un point reculé.


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