L'hommage que l'espace du PPS pour les cadres a consacré au pionnier du cinéma marocain, Latif Lahlou offre un vaste champ de signes à lire à plusieurs niveaux. Il ne se réduit pas à sa seule dimension festive comme il ne peut être ramené à un simple moment de l'agenda culturel fort chargé de ce mois sacré. Et il n'est pas non plus dicté par la conjoncture ou les circonstances liées aux polémiques qui ont marqué l'espace public autour des questions de la liberté, de la responsabilité et de l'éthique dans l'art.