img src="/images/actualites/actualite_0449d28990f35f.jpg" alt="Essaouira mérite sa réputation de cité "envoûtante"" class="img_content" title="Essaouira mérite sa réputation de cité "envoûtante"" / Essaouira qui accueille actuellement le festival "Gnaoua et musiques du monde" doit certainement sa réputation de cité envoûtante au "brassage culturel permanent" qu'elle a su entretenir au fil des siècles, écrit samedi le quotidien "La Libre Belgique" dans un reportage idyllique sur la cité des Alizés. L'atmosphère qui "règne dans les ruelles étroites de la Médina, classée patrimoine mondial de l'Unesco, est unique", explique le journal, ajoutant qu'aujourd'hui "Essaouira héberge chaque année en juin, un festival de musique Gnaoua qui y attire 200.000 personnes". Le journal retrace le parcours historique de la cité fortifiée et l'attrait qu'elle a exercé sur les voyageurs occidentaux, à tel point qu'elle devint "le refuge privilégié" de nombreux artistes de renommée mondiale, relève-t-il. "On ne vient pas par hasard à Essaouira, estime le reporter du quotidien Bruxellois. Non, Essaouira se mérite, mais quel ravissement lorsqu'on la découvre du haut d'un piton rocheux avant de s'y laisser descendre en douceur et de profiter de ses multiples charmes". Le festival, qui en est à sa neuvième édition, réunit cette année encore, du 22 au 25 juin, des dizaines de milliers de fans de la musique Gnaoua et de grands musiciens africains, européens, américains et asiatiques, qui se retrouvent dans une grande convivialité.