, l'organisation libanaise chiite, lors d'une frappe aérienne menée, vendredi, par l'armée israélienne. Le PJD a affirmé, dans un communiqué, que la mort du «martyr Hassan Nasrallah» est survenue «suite à un raid perfide de l'entité criminelle sioniste dans la banlieue sud de Beyrouth, au Liban». Ce «meurtre», indique le Parti de la Lampe, «confirme sans aucun doute le caractère criminel, sanguinaire et colonial de cette entité usurpatrice». De son côté Al Adl wal Ihsane a dénoncé un «bombardement barbare d'immeubles résidentiels sur le territoire libanais, lors d'une violation flagrante de la souveraineté d'un Etat». Cet «acte terroriste exige de la communauté internationale de mettre en place un mécanisme pour poursuivre l'entité sioniste et mettre ainsi un terme à son impunité permanente». Pour sa part le Groupe d'Action Nationale pour la Palestine a observé, samedi soir, un sit-in à Rabat devant le siège du Parlement pour condamner l'assassinat de Hassan Nasrallah.