Et si derrière les supputations et autres inepties publiées sur le Maroc, dans le cadre de l'enquête sur le « projet Pegasus », il n'y aurait en réalité, qu'une affaire d'ego surdimensionné et aussi de gros sous, visant à satisfaire les ambitions personnelles du président-fondateur de Forbidden Stories, Laurent Richard, qui rêve d'acquérir le même pouvoir d'influence politique et financier transnational, que Georges Soros, l'instigateur des révolutions de couleurs en Europe de l'Est et l'un des bailleurs de fonds attitrés, parmi d'autres, de Forbidden Stories ? Cette question est d'autant plus lancinante, que depuis plusieurs mois, il souffle au sein de ce consortium de journalistes, soutenu financièrement et logistiquement par RSF et qui s'abstient paradoxalement d'interférer dans les affaires internes françaises, un vent d'inquiétude sur « l'indépendance éditoriale et financière » de Forbidden Stories, marqué par plusieurs frondes et défections internes. Or ce vent ne semble pas du tout vouloir s'apaiser, tant il vient d'être à nouveau attisé par la publication de cette rocambolesque histoire d'espionnage mondial, mettant en cause un certain nombre de pays, dont plus particulièrement le Maroc, pour leur soi-disant usage « abusif » d'un logiciel espion fabriqué par la société high-tech israélienne NSO. Et pour cause, plusieurs de ces voix contestataires, s'interrogent avec acuité, si dans sa campagne actuelle, Forbidden Stories aspire plutôt à dénoncer l'espionnage et la surveillance numérique mondiale, ou à en découdre avec le Maroc, un allié séculaire de la France, sachant que ce consortium avait déjà cherché, en juin 2020, à éclabousser vainement l'image internationale du Royaume, en relayant à foison les rodomontades sans preuves d'Amnesty International, relatives à la présumée infection par les services de sécurité du téléphone d'un journaliste marocain, par le logiciel espion Pegasus. A cette époque, l'entourage professionnel de Laurent Richard avaient remarqué avec beaucoup d'étonnement sa profonde déception, suite à la levée de boucliers des autorités marocaines, ayant su opposer médiatiquement un démenti énergique aux accusations infondées d'Amnesty et Forbidden Stories. Ils avaient aussi noté son grand dépit, lorsque Omar Radi a été relaxé au lendemain d'un incident qui l'avait opposé durant la même période estivale de 2020, à un cameraman à Casablanca, privant par là même ledit consortium, de l'opportunité de rebondir sur cette affaire, pour justifier ses attaques contre le Maroc. Les collaborateurs du fondateur de Forbidden Stories ont été encore plus interloqués par l'acharnement anti-marocain que reflétaient ses propos hargneux, notamment lorsqu'il leur a déclaré avec une rageuse détermination, que « le cas Omar Radi n'était qu'un coup d'essai, qui se transformera bientôt en tsunami au Maroc, où le pouvoir sera éclaboussé mondialement au plus haut niveau ». Ces mêmes journalistes, dont la majorité a été débauchée de la société de production parisienne « premières lignes télévision », où Laurent Richard exerçait en tant que rédacteur en chef, ne pensait pas du tout que ce dernier avait gardé une rancoeur tenace contre les autorités marocaines, qui avaient, en 2015, expulsé manu militari du Royaume, son collègue Jean Louis Perez, auteur d'un documentaire pamphlétaire intitulé « Roi du Maroc : le secret d'un règne », diffusé le 08.10.2016, par la chaîne « France 3 », avec la participation d'un concentré de refuzniks et de détracteurs de la monarchie, tels Moulay Hicham, Aboubakr Jamai, Ahmed Reda Benchemsi, Ali Lmrabet, Fouad Abdelmoumni, Najib Akesbi, Karim Tazi, et les ex-militaires Mustapha Adib et Abderrahmane El Mernissi, sans oublier le français Gilles Perrault. C'est donc sans même chercher à en savoir plus sur les tenants et les aboutissants du projet Pegasus, qu'un certain nombre de journalistes consencieux et qui demeurent, tout à leur honneur, viscéralement attachés à l'esprit déontologique de leur métier, ont décidé de débarquer illico presto du navire Forbidden Stories, après avoir compris que leur capitaine égocentrique, était en train de les mener droit au naufrage. Ils ont compris qu'il ne s'agissait pas d'effectuer une enquête impartiale, objective et techniquement probante, sur l'éventuel ciblage par certains états, des téléphones appartenant à des personnalités politiques, des avocats et des journalistes, via l'utilisation d'un logiciel espion. Bien au contraire, ils ont eu l'amer déception de découvrir que l'objectif premier du dossier NSO, vise à assouvir le désir de vengeance à l'encontre du Maroc, d'un Laurent Richard, qui s'attelle , à provoquer une « crise diplomatique inédite » entre le Maroc et la France, en accusant Rabat d'espionner le président Macron et plusieurs de ses ministres, et qui ne cache plus sa volonté de porter atteinte par tout les moyens au Souverain marocain, aux services de sécurité du Royaume et à la crédibilité du modèle marocain du renseignement. Plus grave encore. Rétrospectivement à cette deuxième cabale déclenchée en l'espace d'une année, contre le Maroc, dans le sillage de l'affaire Pegasus, les réfractaires de Forbidden Stories ont découvert avec effroi, que leur patron, Laurent Richard, ainsi que son épouse et rédactrice en chef au sein du même consortium, Sandrine Rigaud, sont prêts à pactiser avec le diable, pour arriver à leurs fins et ce, au détriment même de l'indépendance et la crédibilité du consortium. Plusieurs langues commencent à se délier pour critiquer de manière acerbe le manque de transparence, qui prévaut dans les opérations de levée des fonds, pour financer les campagnes-actions du consortium Le couple Richard-Rigaud est régulièrement pointé du doigt pour être obséquieusement en quête de nouveaux bailleurs de fonds, qui n'hésitent pas, en contrepartie de l'octroi d'un quelconque financement, à s'immiscer dans le travail d'investigation de Forbidden Stories, voire à imposer ou à orienter le choix des sujets. C'est le cas notamment du récent deal conclu avec le groupe « QCF », qui s'est dit prêt à débloquer au profit du consortium la coquette somme de 3 millions de dollars, soit trois fois le budget actuel de Forbidden Stories, ou encore de l'accord passé avec le fonds américain « Wellspring Philanthropic », qui a offert un chèque de 150.000 dollars. D'où cette question qui est affichée aujourd'hui sur toutes les lèvres des observateurs avertis : les journalistes de Forbidden Stories auront-ils le courage de publier le fruit de leur investigation sur l'origine et la contrepartie des « moyens colossaux » mobilisés par Laurent Richard pour jeter l'opprobre sur le régime marocain et ses services de sécurité? Laurent Richard laissera-t-il ses journalistes répondre à cette question, où aura-t-il recours à un logiciel espion pour bâillonner les dernières voies libres d'un consortium manipulé sous le diktat d'un patron aussi cupide qu'interlope?