Le nouveau centre multiflux de la Société nationale des transports et de la logistique (SNTL) a affiché un taux d'occupation de 66 pc après seulement deux mois d'exploitation, selon un communiqué de l'Equipement et des Transports. Situé sur la zone logistique de Zenata, "ce centre moderne et équipé d'infrastructures conformes aux normes internationales affiche un taux d'occupation de 66 pc après seulement deux mois d'exploitation (depuis le 1er mars 2011)", indique le communiqué. "Ce taux témoigne de la confiance dont jouit la SNTL auprès de ses nombreux clients, mais aussi de l'importance de la demande latente en termes de locaux et de services de logistique", a souligné le ministre de l'Equipement et des Transports, Karim Ghellab qui a présidé, récemment à Casablanca, le conseil d'administration de la SNTL. Il a félicité, dans ce cadre, les équipes de la SNTL pour avoir réussi à tenir les délais fixés et à optimiser avec succès les activités sur cette plateforme. Il a également rappelé le rôle imparti à la SNTL depuis sa substitution à l'Office national des transports, notant qu'elle "se doit être un opérateur de référence dans les secteurs des transports et de la logistique". Le ministre a aussi souligné "l'importance des chantiers engagés dans le cadre de la stratégie de diversification de l'entreprise, particulièrement ceux relatifs au développement des centres logistiques". Le conseil d'administration a réitéré son soutien aux actions visant le développement et la modernisation de la SNTL, notamment le lancement des travaux de la 2ème tranche du centre SNTL, qui offrira, dès la fin 2012, avec la construction de 10 entrepôts supplémentaires, 60.000 m2 de surface utile d'entreposage. La SNTL poursuit son développement logistique, notamment dans la région de Tanger avec une offre complète sur Tanger Med, souligne le ministère de l'Equipement et des Transports. Le plan de développement de la SNTL vise la réalisation de plus de 210.000 m2 de surface utile, à travers la poursuite de la réalisation des projets définis dans le cadre du schéma directeur d'infrastructures qui couvre les villes de Casablanca, Tanger, Agadir, Fès et Marrakech.