Dans le cadre de la 17 ème édition du Salon International de l'Art Contemporain à Marseille ( Parc Chanot ) tenue du 10 au 13 mars 2017, l'artiste marocain de renom Abdel-Ilah Chahidi est sélectionné avec mérite pour présenter ses œuvres artistiques insolites, et ce après une participation judicieuse à la manifestation créative grandiose « Barcelona International Art Fair 2016 » aux côtés des artistes talentueux , toutes tendances et provenances géographiques confondues : Pierrick Her ( président de la Mondial Art Academia ), Dominique Bergeret, Patricia blondel , Muriel Besson Braem, Sandrine Etienne, Margo, Valerie Polizzano , Maryse Reboul, Daniel Olivier, ( France ), Sylvia Bertolini , Marie-Noëlle Gagnan , Zabel, Raymond Quenneville, Martine Vallée ( Canada ), Arco Farc ( Belgique) et bien d'autres encore. Sur son calibre artistique, Pierrick Her ( président de la Mondial Art Academia ) a écrit : «Abdel-Ilah Chahidi, tu as l›étoffe d›un grand artiste...le talent, la classe, l›élégance et la gentillesse...bref.....Mondial Art Academia est fière de te compter parmi ses membres ». Ce plasticien chercheur est hypersensible et très doué. Par ses études des « connotations rhétoriques de la femme en tant que mythe vivant », il capte et restitue en couleurs alchimistes la beauté à la fois apparente et latente de la femme, et ce dans une gestualité généreuse et fluidité chromatique surprenante. Il a bien voulu transgresser les canons classiques de la peinture figurative pour intégrer un espace d'expression plastique plus vaste et éloquent, celui de création merveilleuse et magico-poétique en général. La dimension absracto-figurative de ses tableaux ne se borne pas à une simple énonciation anecdotique mais implique la notion de rêve liée à celle de représentation subjective. Abdel-Ilah Chahidi met en toile les repères de notre mémoire collective loin de toute aliénation et perte d'identité. Il détourne le sens de ses scènes insolites qu'il perçoit et perturbe la lisibilité immédiate de son œuvre qui connote très souvent la jouissance les atmosphères humanisées. L'élément référentiel de base est pour cet artiste les traces de la mémoire ; les couleurs du rêve et la polyformité des tâches juxtaposées à travers un traitement stylistique évoquant la rhétorique de la profondeur, de la transparence et de la substitution. Abdel-Ilah Chahidi nous invite à contempler ses œuvres fantasmagoriques dont le point de base est le sens fugace de la réalité magique au féminin et la métaphore du corps qui ne perd pas son identité iconographique pour se muer en impressions étranges, à la limite de la visibilité connotative. Il a pu inventer une nouvelle façon, méditative, de peindre, que la critique esthétique définit comme peinture en champs de couleurs et de figures insolites qui se métamorphosent en fonction de cette dualité « jour et nuit ». Il est à rappeler qu'Abdel-Ilah Chahidi a pris part à la quatrième édition du Salon d'Automne d'Amérique latine à Sao Paolo en mai dernier aux côtés de 119 autres artistes des quatre coins de la planète. Il a représente le Maroc dans l'un des rendez-vous phares de l'art contemporain de par le monde : Tokyo International Art Fair au Japon en mars 2017. Mais bien avant, le plasticien a exposé ses œuvres récentes à Florence en Italie. L'artiste, qui fait partie depuis un an déjà de la «Mondial Art Academia», avec le titre de chevalier académicien, en reconnaissance de son parcours riche et sa recherche plastique perpétuelle, a reporté le prix de « meilleure œuvre selon les galeries d'art ». Abdel-Ilah Chahidi a remporté le grand prix de la catégorie « peinture surréaliste » au titre de la compétition « meilleure œuvre plastique arabe dans le monde »( le trophée mondial des créateurs arabes) dans le cadre du Forum International des arts plastiques « Art London International Exhibition & Award » initié récemment par l'organisme mondial des prix créatifs Arabs Group et parrainé par le centre culturel de l'Ambassade d'Egypte au centre de la capitale britannique..