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Accord agricole Maroc-UE : Camouflet pour les ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume : La Cour de justice de l'UE rejette comme irrecevable le recours du polisario
Justice a été enfin rendue dans l'affaire de l'annulation partielle de l'accord agricole entre le Maroc et l'Union européenne, annulation qui avait été prononcée par arrêt du tribunal de l'Union européenne datant du10 décembre 2015. La Cour de justice de l'Union européenne a rejeté, hier mercredi, comme irrecevable le recours du polisario contre ledit accord agricole et annulé l'arrêt du tribunal de l'UE à ce sujet. Le polisario a également été condamné à supporter ses propres dépens ainsi que ceux exposés par le conseil de l'UE. Il est à rappeler que l'avocat général de la Cour de justice de l'UE avait précisé, il y a trois mois, que le polisario n'avait ni la qualité, ni la légitimité pour représenter les habitants des régions du sud du Royaume et ses intérêts. De ce fait, son recours en annulation devait être jugé irrecevable. Ainsi, la Cour de justice de l'Union européenne, qui est l'une des sept institutions de l'UE, dont la mission est de veiller à l'application du Droit de l'Union et regroupe trois juridictions, la Cour de justice, le Tribunal et le Tribunal de la fonction publique, a-t-elle clairement précisé que le polisario ne peut s'auto-ériger représentant des habitants des régions du sud et ne peut prétendre parler en leur nom. La décision de la Cour de justice de l'UE est tout à fait conforme au Droit international, puisque la république fantoche n'est pas membre de l'Organisation des Nations Unies. Seule l'Union africaine reconnaît cette entité créée de toute pièce par l'Algérie, une situation des plus anormales qui nuit à la crédibilité de l'organisation panafricaine. Il est, d'ailleurs, à espérer que l'adhésion prochaine du Maroc à l'UA va sonner le glas de la présence de la république des mercenaires dans les rangs de cette institution, qui n'arrive toujours pas à répondre aux attentes et ambitions des peuples africains, du fait de l'influence néfaste de quelques pays sur son fonctionnement. Avec cette gifle infligée au polisario et à ses parrains algériens par la Cour de justice de l'UE, c'est le mythe de la représentation des habitants des régions du sud du Maroc par la république fantoche qui s'évapore. C'est également un feu vert donné aux investisseurs étrangers désireux d'installer des activités productives dans les régions du sud, le polisario n'étant pas en droit d'entraver leurs démarches et de priver ces régions du développement socioéconomique que l'Etat marocain promeut à coups de milliards de Dirhams. L'opinion publique internationale peut, d'ailleurs, aisément constater actuellement que le polisario n'est bon qu'à multiplier les provocations envers le Royaume et mettre en péril le cessez-le-feu au Sahara, en installant quelques uns de ses desperados à Guerguerat, pour y protéger les trafiquants de tout genre que les services de sécurité marocains avaient récemment chassés. Plutôt que sur la liste des entités étatiques, c'est sur celle des mouvements narcotrafiquants et terroristes que le polisario devrait normalement figurer.