Nonobstant ce 4/0 d'Alexandrie avec, il est vrai, ceux qui étaient derrière cette hécatombe dont le staff technique avec en tête de liste Sir Toshack, prend une responsabilité à 75 % et le reste, c'est aussi du sort des joueurs et membres dirigeants. Dire adieu au Mondial des clubs (Japon 2016) c'est prématuré de l'annoncer et c'est comme ça que l'on garde un pourcentage de chance afin de battre...l'impossible. Oui, passer lors du « plan A », 4 buts dans les filets de Shennaoui et gérer le reste (série des pénalties positivement), on ne sait pas comment le duo Souheil/Desabre vont résoudre cette équation mais la seule chose qui nous parait faisable et concrète, c'est que les Fabrice, Ounajem, Chikatara (s'il est aligné) et Haddad dans un grand jour ont les possibilités de remonter le score et partant renouer avec les succès dans la grande tradition de leurs aînés les Moussa Ndaw, Zaki, Shaita, Saber, Naybet et des meilleurs. Des Zamalkaouis dont on ne cesse de le répéter forment un « os dur » et qu'ils sont des habitués des derbys africains, leur chance, ils ont su la saisir à Alexandrie et n'y sont pour rien si un Akid plongeait du mauvais côté et qu'un Zouheir Laâroubi est resté à El Jadida, aussi, ces cadeaux à Fall! Page tournée et mobilisation générale (public en plus de cette concentration à Témara), Jour « J » s'approche et c'est nécessaire de rappeler à ceux qui ont cette tâche de sauver l'image du WAC que l'Histoire nous a appris cette précieuse doctrine : Oui, les grands clubs ne meurent jamais.