Avec ses 200.000 habitants, ce qui a fait dire au personnel navigant : « Un peu près la population de Derb Bouchentouf à Casa ou Hay Yaâcoub Al Mansour à Rabat ». 10 associations sportives à l'Ile Sao Tomé et pareil à la voisine Principe. Il y a un principe, le respect de l'adversaire et puis, une fois sur le rectangle vert, montres-moi de quel bois tu te chauffes ». Zaki qui retrouve l'Afrique après une absence de presque 10 ans. Les Obaddi, Lazaâr, El Kadouri et Adoua forment la relève de l'épopée Chamakh, Hajji et général Hosni Ben Slimane. « Dis nous Adoua, cette CAN 2017 y en a assez de rater ses rendez-vous africains, peut-on, au nom du public marocain, vous demander le podium final ». «Oui, c'est votre droit, mais il faut d'abord se qualifier ». Une qualification, ça passe par un groupe « F », pas si facile comme on le croit et l'on commence déjà les calculs. « Si la Libye l'emporte sur le Cap-Vert et que les Iajour et El Arabi se montrent adroits ce samedi, la route ne peut être que déblayée ». Une synthèse prise à 10.000 pieds (confrères en discussion avec des composantes de l'équipe nationale). Des conditions de voyage excellentes, gazon artificiel, public et règles FIFA. On est loin de ces nuits passées dans des aéroports, champ de jeu bon pour la culture du cacao, arbitrage méchant et même ces histoires de public trop agressif ! Un onze national devant un Petit Poucet, on ne sera pas gourmand, mais vu la renommée des Lions de l'Atlas, mobilisation maximum et page tournée; force aussi en présence, un 3/0 ne suffira pas ! Iajour, El Arabi et Syntica, la table est prête. Bon appétit !