Le nouveau recueil du poète marocain Mohamed El Jerroudi, vient de paraître aux Editions du cygn, Paris. En dos de couverture, le poète belge Jean Botquin dit de lui : « À travers la poésie de ce nouveau recueil de Mohamed El Jerroudi, nous découvrons tous les signes d'un monde menacé de destruction. Celui des faux prophètes, des guerres réelles ou latentes, du mensonge, de l'absence d'amour et de fraternité, de l'extinction de toutes les valeurs véritables. Le monde d'aujourd'hui se peuple de prédicateurs, politiques ou religieux, qui profèrent des paroles manipulatrices et des promesses qui ne seront jamais tenues. À la surface de la terre on ne trouve que désolation et cris silencieux. Les nuits sont sans sommeil et les lendemains souvent sans espérance. Ouvrir les yeux et les oreilles sur la mer et les vagues, marcher les pieds nus dans le sable qui crisse, écouter la musique du vent dans les montagnes, continuer la culture du jardin du père « qui n'a trahi personne » et de la mère qui « chantait comme un ruisseau sous un figuier », seules voies de rédemption et de survie. » Biographie « Mohamed El Jerroudi est né au Maroc à Béni Sidel (RIF) en 1950. Il séjourne actuellement à Tétouan. Professeur de français, de 1972 à 2010. Il mène une vie très active, dès 1976, dans le domaine des arts plastiques et littéraires (conférences, écrits et poèmes dans la presse marocaine l'opinion culturel, et la revue Jeune Afrique de 76 à 82...).Fondateur de la section du parti USFP au nord(RIF) à l'âge de 24 ans. Poète marocain de langue française, il publia un premier recueil en 1998 Le silence décrit (La croisée des Chemins, Casablanca). –Cœurs absents – 2011, -Les yeux des autres -2013 – Mémoire des temps futurs ,2015 aux Editions du Cygne à Paris). Poète majeur mais atypique, il ne fait partie d'aucune école. Profondément épris de liberté, il exprime une pensée universelle ouverte à tous ceux qui placent l'être humain et ses valeurs au-dessus des particularismes du monde. »