Constat, on a vu tous comment la machine rajaouie s'est arrêtée devant les Camerounais du Coton Sport. Un milieu de terrain peu créatif. Certes, les Kouko et Baila sont là mais juste pour le volet récupération où, d'ailleurs, ils excellent. Un Raja, de tous les temps, l'Ecole du Père Jégo avait privilégié le jeu court avec des maestro en milieu de terrain; des Maâlmines nommés Dolmy, feu Petchou, Beggar et plus tard un Haddaoui ou …Mitouali. Mitouali que les agents de joueurs lui font goûter l'essence des Pétro-Dollars. Ici se pose un problème : Mais qui va « cacheter » le style Raja ? Des noms circulent et comme dans un choix pareil qui demande de la réflexion, des premiers indices nous font savoir que les pourparlers avec la star Aït Laârif, joueur qui a le profil du « ê…ê Rajaoui », vont bon train et ça ne va pas tarder d'officialiser un transfert qui bouleversera la ville.