Ce n'est pas parce que son équipe est leader et qu'on va lui casser le rythme de ses braves et jeunes Doukkalis que le président Moundib montre son refus à accepter mal cette trêve. «ça n'a aucun sens. Une trêve, on l'aurait accepté si nos Lions de l'Atlas seraient en Angola». «Des vacances pour …rien, le rythme d'Al Botola prend un sacré coup et puis sincèrement, pensez à ses dirigeants qui sont dans l'obligation de faire un effort financier le long de ce mois de janvier alors que le «chômage» bat son plein». «Un championnat entrecoupé. Rappelez-vous des dimanches de l'Aïd et tutti quanti. Le Maroc a ses spécificités et on doit prendre en considération notre… timing ». Le professionnalisme a ses règles, ses conditions et ses hommes.