Depuis des mois, la Direction Générale des Impôts (DGI) s'est mise à scruter activement l'activité des « Youtubeurs », dits créateurs de contenu, qui récoltent des sommes jugées parfois énormes, sans payer pour autant leurs impôts. Le gouvernement a mis fin au doute en annonçant officiellement, par la voix de son porte-parole, sa volonté de taxer cette catégorie d'influenceurs. Le fisc s'est d'ores et déjà lancé en quête de la formule adéquate pour établir un régime d'imposition qui soit efficace et équitable. Or, la tâche s'annonce complexe vu les difficultés techniques et les innombrables paramètres à prendre en compte. Statut juridique, revenu imposable, traçage des paiements et risque de sous-déclaration... Autant de questions à résoudre. Interrogés par « L'Opinion », des fiscalistes spécialisés se sont exprimés sur la faisabilité de cette taxe qui fait couler beaucoup d'encre. Décryptage.
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