1- Le pays dont il est question n'est ni frère ni voisin. C'est une création française précipitée et ratée, sans aucune des grandes valeurs universelles de cette France des lumières, et sans aucune des grandes valeurs musulmanes de fraternité et de bon voisinage. Tout ce que notre Royaume plusieurs fois millénaire a fait pour ce ... pays, afin d'en faire justement, un frère et un voisin, s'est avéré vain, sans lendemain. La fraternité et le voisinage ne sont ni biologique ni géographique. Ils sont l'aboutissement d'un processus hautement humain, qui est totalement méconnu de caporaux bananiers, rétrogrades, marionnettes, traîtres. 2- la politisation du sport est la manœuvre naturelle, tautologique, abjecte d'un tel régime aux abois. Rien d'étonnant, absolument rien, sauf pour les naïfs, dont je faisais moi-même partie. Comment peut-il en être autrement ?!!! 3- il ne suffit pas d'être le petit-fils d'un monument pour pouvoir s'approprier sa grandeur. Le fantôme invité du pathétique porte-parole des caporaux marionnettes, à la CHAN, est lui-même le dernier vendu du continent africain. Il est la preuve la plus flagrante que le biologique ne suffit jamais pour faire un fils, un petit-fils ou un frère dans le sens humain et donc noble de ces qualificatifs. C'est ainsi cette Algérie qui, plus elle se dévoile, plus elle donne à préfèrer les animaux. J'avoue sans retenue ni ménagement, mais avec beaucoup de lucidité et de sincérité, que je me sens plus que jamais voisin et frère de pays comme les Etats du Golfe, l'Egypte, l'Espagne, les Etats-Unis d'Amérique, Israël, la Chine, la Russie, l'Indonésie, le Japon, la Malaisie, la Mauritanie, le Sénégal, la Côte d'Ivoire, le Gabon, la Tanzanie, l'Ethiopie, la Grande Bretagne et de beaucoup d'autres pays du monde arabe, du monde musulman, d'Afrique, d'Europe, d'Amérique et d'Asie, que de cette Algérie ingrate, sanguinaire, guerrière, haineuse, joueuse, moyenâgeuse, infréquentable, dont le seul frère et voisin est Satan, et qui ne mérite de nous que dédain, tant qu'elle continue à être malheureusement, otage de caporaux traîtres de leur propre peuple.