L'arbitre du centre et son deuxième assistant dans le collimateur L'arbitre du match Raja-Rapide Oued Zem est dans le collimateur des composantes du Raja. Il le serait sans aucun doute dans celui de la Direction Nationale d'Arbitrage. Elles ont raison de lui en vouloir, pas seulement à lui mais également à son deuxième arbitre assistant. Penalty indiscutable Il y avait bel et bien penalty. Il était indiscutable. L'attaquant des Verts a été agressé dans la surface de réparation devant les yeux du deuxième arbitre assistant. On n'avait même pas besoin de la VAR pour statuer sur l'action. Les protestations officielles du Raja Juste après la fin du match, le Raja a communiqué au sujet de l'action litigieuse. Textes extraits des lois de l'arbitrage à l'appui (article12 : fautes et comportement antisportif), le Raja a analysé et commenté le cas litigieux l'ayant privé d'un penalty flagrant tout en invitant la Direction Nationale d'Arbitrage à faire le nécessaire. La Loi 12 est claire Selon la Loi 12 intitulée ''fautes et incorrections'' : - Lorsqu'une faute passible de coup franc est commise par un joueur dans sa surface de réparation, il y a penalty. -10 cas sont cités parmi lesquels le cas survenu lors du RCA-RCOZ: frapper ou essayer de frapper un adversaire. Cas passible d'un penalty et de carton rouge.
Le ballon était en jeu Le même article précis que : -Si le ballon est hors jeu, la faute peut donner lieu à un avertissement ou exclusion mais ne donne pas lieu à un coup franc. -Il spécifie également que quand le ballon est en jeu, il y a coup franc (ou penalty) même si la faute est commise en dehors du terrain. La loi 9 fait la distinction entre les expressions ''ballon en jeu'' et ''ballon hors jeu''. Cela déterminera la décision de l'arbitre. -Si le ballon est hors jeu, l'arbitre appliquera la sanction administrative (avertissement ou expulsion) mais la reprise du jeu restera celle consécutive à l'arrêt.
Une décision erronée Pour revenir à la décision prise par l'arbitre du match, elle est erronée. Que s'est-il passé dans sa tête ? Lorsque le ballon est en jeu il spécifie également, il y a coup franc (ou penalty) même si la faute est commise en dehors du terrain.
Le mal est fait Pour revenir à la décision prise par l'arbitre du match, elle est erronée. Que s'est-il passé dans sa tête ? Comment a-t-il interprété la situation litigieuse ? Qu'est-ce qu'on s'est dit dans la cabine de la VAR ? Les réponses, on les connaitra lors de la prochaine séance consacrée à l'évaluation hebdomadaire des faits litigieux de la 9ème journée. Mais le mal est déjà fait. Tout le monde a vu la faute sauf les principaux concernés : l'arbitre du match et son deuxième assistant.