Un jeu dominé par la prudence et la pression sur le joueur possédant le ballon, retour rapide en zone défensive juste après la perte du ballon, la progression par passes verticales mais des déchets au bout des séquences.
Zéro opportunité !
La récupération était rapidement faite mais sans relance ou progression réussies. Deux pénalties ont été oubliés par l'arbitre algérien, le premier pour le Monastir et le deuxième pour le Raja.
Un jeu attentiste !
Après 30 minutes de jeu, aucune équipe n'est parvenue à prendre le dessus. Un semblant d'ouverture du jeu commençait à se dégager de la partie. Mais pas pour le temps. La situation arrangeait le Raja déjà vainqueur à Casablanca par 1 à 0.
Une opportunité, un but !
A la 37e minute, un centre en retrait du flanc droit tunisien, un enchaînement, réception et tir bien appuyé de Jlassi, dès 20 mètres, a logé le ballon dans les filets de Zniti (0-1).
Carence offensive !
Une première mi-temps fermée, avec peu d'espaces, une concentration en milieu, une rareté des occasions et une fréquence élevée de l'utilisation des balles arrêtées à défaut de séquences élaborées.
Accélération et intensité !
Après la pause, le jeu et le rythme se sont intensifiés. L'objectif : le rectangle et les poteaux. Mais les défenses ne laissaient rien passer. A la 64e minute, un centre, une tête de Rahimi et un prolongement de Malongo ont failli donner au Raja l'avantage mais le ballon s'est orienté hors cadre.
Durcissement et surplus de fautes !
Le Raja optait pour les incursions latérales avec de longues balles à la recherche de la tête de Malongo. Le Monastir jouait surtout en contres pour surprendre. Le match se durcissait. Le jeu s'animait mais les fautes se multipliaient, les arrêts, les coups francs et les tirs avec.
Le calvaire des dix dernières minutes !
Les dix dernières minutes ont été dures à gérer. A l'intensité et à l'engagement s'invitaient la fatigue, le stress et l'énervement. Les joueurs étaient à fleur de peau. Il ne fallait surtout pas encaisser le but synonyme de la disqualification. Ils se donnaient à fond. Le ballon changeait de camp rapidement. L'angoisse et l'agressivité gagnaient les joueurs. Le match pouvait basculer à tout instant.
Les tirs au but décisifs !
Seul le sifflet final de l'arbitre les a libérés de leur calvaire en les renvoyant aux tirs au but qui ont souri au Raja lequel participera à la phase des groupes.