Parmi les réserves existantes, 80 % proviennent de ressources primaires et 20 % de projets alluviaux, une quantité qui peut être commercialisée pendant 15 à 20 ans, a précisé Vemba, soulignant que le sous-secteur du diamant avait bénéficié d'investissements au cours du premier et du deuxième trimestre de 2023, de l'ordre de 193 millions de dollars, soit une augmentation significative par rapport à la même période de l'année dernière. Par ailleurs, selon le responsable, les principales destinations des exportations de diamants, au premier semestre de cette année, étaient les Emirats arabes unis avec 65,6%, et la Belgique avec 29%, dont 5,4% étaient exportés vers diverses destinations. Au cours de la même période, l'Angola a vendu environ 2.933.000 carats de diamants à un prix moyen de 202,61 dollars le carat, ce qui correspond à une valeur brute d'environ 594,17 millions de dollars.