L'heure est aux premiers bilans même s'il reste encore plusieurs échéances comme la coupe d'Afrique des nations ou la qualification aux J.O de Londes. Le président de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF), Ali Fassi Fihri, présente un bilan très positif depuis l'arrivée de son sélectionneur, Eric Gerets. Les objectifs atteints dissipent déjà les doutes et interrogations du début pour laisser place à la certitude que notre football est entre de bonnes mains, celles de AFF et Gerets. Certes, il y a toujours encore des améliorations à apporter mais globalement, la gestion du président de la FRMF présente un bilan tout à fait positif qui s'inscrit dans la logique de développement et la mise à niveau du football national que le président avait brièvement explosé lors de son investiture à la tête de la Fédération Royale Marocaine de Football. Elu Président en Avril 2009, Ali Fassi Fihri a eu l'immense honneur, mais aussi la très lourde responsabilité de succéder à ses prédécesseurs « militaires » avec comme mission de redresser rapidement un football national à l'agonie après les débâcles des clubs et sélections Marocains. Depuis qu'il se trouve à la tête de la FRMF, il a assumé toutes les critiques et pris sur lui toutes les attaques qui, de toutes parts, le prenaient pour cible. Ceux qui voulaient le fragiliser ont perdu leur temps, car le bonhomme n'affectionne pas particulièrement les polémiques, car c'est sur le terrain du travail de longue haleine qu'il répond à ses détracteurs. Visionnaire, Ali Fassi Fihri avait jugé bon de mettre l'équipe nationale en quarantaine préférant attendre l'arrivé de l'anti-virus, Eric Gerets. Tous les spécialistes y ont été avec leurs analyses pour expliquer les conséquences néfastes d'une telle décision sur le rendement des lions de l'atlas, mais AFF n'avait que faire, il était persuadé de la nécessité d'une rupture et l'avenir lui donnera raison. Toutes les critiques des footeux-sceptiques ont été anéanties à l'issue de la fameuse rencontre Maroc-Algérie, gagnée 4 à 0 par Eric Gerets et ses Lions. Il s'agissait là de la dernière porte entrebâillée par un Gerets et AFF qui se sont extirpés d'une situation périlleuse en réalisant le match « référence » tant attendu. La dynamique de la victoire est définitivement lancée grâce au travail accompli mais aussi à la confiance entre le président et son entraîneur. On retrouve cette même relation de confiance entre AFF et Pim Verbeek. Ce dernier réalise également du très bon travail avec l'équipe olympique Marocaine bien partie pour s'adjuger son ticket pour les JO. de Londes. Affable et discret, le technocrate Ali Fassi Fihri (AFF ou Coluche comme on se plaît à le surnommer dans notre forum) mérite toute notre admiration et toute notre reconnaissance pour avoir su s'entourer de gens compétents à tous les niveaux. Malgré sa discrétion et ses rares apparitions médiatiques, et contrairement au ministre Belkhayat qui multiplie les coups médiatiques, AFF travaille dans la discrétion et reste l'un des grands artisans de cette dynamique de victoire que connaît le football national à l'heure actuelle. Les bons résultats des Lions de l'atlas et ceux des clubs Marocains sur la scène Africaine sont le fruit des efforts entrepris par la FRMF depuis l'arrivée d'AFF qu'on soutient mais à qui on demande un petit effort au niveau de la communication. Suivant