L'information vient de tomber. Le Maroc vient de rompre ses relations diplomatiques avec l'Iran, premier adversaire des Lions de l'Atlas en Coupe du Monde. Une nouvelle bonne raison pour les battre en Russie.Ceux qui attendent le premier match des Lions de l'Atlas contre l'Iran en Coupe du Monde ne le verront plus de la même façon. Au-delà de l'aspect purement sportif de cette rencontre, ce duel a pris une tout autre tournure. En effet, le Maroc vient de rompre ses relations avec le pays asiatique et a rappelé son ambassadeur à Téhéran. La raison? Le soutien du Hezbollah libanais, grand allié et protégé de la République islamique, au Polisario. Le 15 juin prochain au stade Krestovski de Saint-Pétersbourg, Lions de l'Atlas et Team melli vont s'affronter dans un match qui sentait déjà le souffre. Pourquoi? Parce que cette rencontre est, pour les deux sélections, la clé d'une possible qualification au second tour du tournoi russe. Figurants dans le groupe B avec l'Espagne et le Portugal, les hommes d'Hervé Renard doivent donc impérativement battre les Iraniens pour continuer de rêver. Avec ce nouveau rebondissement, les Benatia, Dirar et autres El Ahmadi ont une autre bonne raison de le faire. Une nouvelle bonne raison pour les battre en Russie.Ceux qui attendent le premier match des Lions de l'Atlas contre l'Iran en Coupe du Monde ne le verront plus de la même façon. Au-delà de l'aspect purement sportif de cette rencontre, ce duel a pris une tout autre tournure. En effet, le Maroc vient de rompre ses relations avec le pays asiatique et a rappelé son ambassadeur à Téhéran. La raison? Le soutien du Hezbollah libanais, grand allié et protégé de la République islamique, au Polisario. Le 15 juin prochain au stade Krestovski de Saint-Pétersbourg, Lions de l'Atlas et Team melli vont s'affronter dans un match qui sentait déjà le souffre. Pourquoi? Parce que cette rencontre est, pour les deux sélections, la clé d'une possible qualification au second tour du tournoi russe. Figurants dans le groupe B avec l'Espagne et le Portugal, les hommes d'Hervé Renard doivent donc impérativement battre les Iraniens pour continuer de rêver. Avec ce nouveau rebondissement, les Benatia, Dirar et autres El Ahmadi ont une autre bonne raison de le faire.