Son départ de Nantes à Schalke 04 l'été dernier avait suscité beaucoup d'interrogations et quelques critiques. Pourquoi Amine Harit avait il décidé de quitter la Ligue 1 après une saison pleine dans les jambes ? Etait-ce vraiment le moment opportun ? N'allait-il pas se « griller » comme plusieurs de ses jeunes camarades ? Des questions aujourd'hui dissipées. Du haut de ses 20 ans, le milieu offensif formé à Nantes a prouvé en quelques mois qu'il avait les épaules suffisamment larges pour supporter tous les espoirs le concernant. En quelques mois, Harit a presque mis l'Allemagne à ses pieds. Présent dans l'équipe-type de mi-saison de notre consultant Jean-Charles Sabattier, le natif de Pontoise n'a pas levé le pied lors de la deuxième partie de saison.
Et à quatre journées de la fin, la coqueluche de Gelsenkirchen totalise trois buts et surtout sept passes décisives. Pas mal pour une première au sein d'un club aussi populaire que Schalke 04. La Veltins Arena a définitivement adopté le Lion de l'Atlas lors du derby face à Dortmund en novembre dernier lors de la 13e journée. Mené 4-0, Schalke 04, sous l'impulsion de son artiste marocain, réussissait un retour historique en arrachant le point du match nul (4-4). Des performances qui forcent l'admiration de ses coéquipiers. « Il fait exactement ce qu'il veut avec le ballon. Amine est un joueur qui a des facilités en un contre un, il peut facilement éliminer un, deux ou parfois trois joueurs et nous fait souvent du bien », expliquait à Kicker Leon Goretzka. Son coach, Domenico Tedesco également : « Nous avons beaucoup de joueurs qui construisent le jeu de l'équipe. Amine est assurément l'un d'eux. Il est très bon et il est toujours en progrès. C'est un jeune très prometteur qui a une énorme marge de progression.» Titulaire à 27 reprises cette saison, Harit a activement participé au retour en force de Schalke 04.
Le club allemand, vainqueur de Dortmund le week-end dernier, est aujourd'hui seul dauphin du Bayern Munich et bien parti pour faire son retour en Ligue des Champions la saison prochaine.La fin de saison s'annonce sublime à plus d'un titre. Car en plus d'une réussite probante en club, Amine Harit vit un rêve éveillé avec le Maroc. Lorsqu'en septembre dernier, l'intéressé officialisait son choix d'opter pour les Lions de l'Atlas, beaucoup d'observateurs ont émis des doutes. Lui, joueur incontournable avec les équipes de France de jeunes, n'avait-il pas un avenir tracé avec les Bleus ? Peut-être mais après mûre réflexion, l'ex Nantais optait pour le pays de ses origines. « J'ai longuement parlé avec mes parents, avec mes représentants, a-t-il déclaré dans un entretien à Jeune Afrique.
J'ai une relation très forte avec le Maroc, et j'ai fait le choix du cœur. Mes parents y sont nés, à Casablanca. Et depuis que j'ai un an, j'y vais tous les ans ! Je parle arabe. Même si j'ai grandi en France, j'ai aussi en moi la culture marocaine. » Un choix qui s'avère aujourd'hui payant puisqu'en plus d'une adaptation réussie, le milieu de Schalke 04 s'apprête à disputer la Coupe du Monde sous les ordres de Hervé Renard. A 20 ans. Rien que ça... Pourquoi Amine Harit avait il décidé de quitter la Ligue 1 après une saison pleine dans les jambes ? Etait-ce vraiment le moment opportun ? N'allait-il pas se « griller » comme plusieurs de ses jeunes camarades ? Des questions aujourd'hui dissipées. Du haut de ses 20 ans, le milieu offensif formé à Nantes a prouvé en quelques mois qu'il avait les épaules suffisamment larges pour supporter tous les espoirs le concernant. En quelques mois, Harit a presque mis l'Allemagne à ses pieds. Présent dans l'équipe-type de mi-saison de notre consultant Jean-Charles Sabattier, le natif de Pontoise n'a pas levé le pied lors de la deuxième partie de saison.
Et à quatre journées de la fin, la coqueluche de Gelsenkirchen totalise trois buts et surtout sept passes décisives. Pas mal pour une première au sein d'un club aussi populaire que Schalke 04. La Veltins Arena a définitivement adopté le Lion de l'Atlas lors du derby face à Dortmund en novembre dernier lors de la 13e journée. Mené 4-0, Schalke 04, sous l'impulsion de son artiste marocain, réussissait un retour historique en arrachant le point du match nul (4-4). Des performances qui forcent l'admiration de ses coéquipiers. « Il fait exactement ce qu'il veut avec le ballon. Amine est un joueur qui a des facilités en un contre un, il peut facilement éliminer un, deux ou parfois trois joueurs et nous fait souvent du bien », expliquait à Kicker Leon Goretzka. Son coach, Domenico Tedesco également : « Nous avons beaucoup de joueurs qui construisent le jeu de l'équipe. Amine est assurément l'un d'eux. Il est très bon et il est toujours en progrès. C'est un jeune très prometteur qui a une énorme marge de progression.» Titulaire à 27 reprises cette saison, Harit a activement participé au retour en force de Schalke 04.
Le club allemand, vainqueur de Dortmund le week-end dernier, est aujourd'hui seul dauphin du Bayern Munich et bien parti pour faire son retour en Ligue des Champions la saison prochaine.La fin de saison s'annonce sublime à plus d'un titre. Car en plus d'une réussite probante en club, Amine Harit vit un rêve éveillé avec le Maroc. Lorsqu'en septembre dernier, l'intéressé officialisait son choix d'opter pour les Lions de l'Atlas, beaucoup d'observateurs ont émis des doutes. Lui, joueur incontournable avec les équipes de France de jeunes, n'avait-il pas un avenir tracé avec les Bleus ? Peut-être mais après mûre réflexion, l'ex Nantais optait pour le pays de ses origines. « J'ai longuement parlé avec mes parents, avec mes représentants, a-t-il déclaré dans un entretien à Jeune Afrique.
J'ai une relation très forte avec le Maroc, et j'ai fait le choix du cœur. Mes parents y sont nés, à Casablanca. Et depuis que j'ai un an, j'y vais tous les ans ! Je parle arabe. Même si j'ai grandi en France, j'ai aussi en moi la culture marocaine. » Un choix qui s'avère aujourd'hui payant puisqu'en plus d'une adaptation réussie, le milieu de Schalke 04 s'apprête à disputer la Coupe du Monde sous les ordres de Hervé Renard. A 20 ans. Rien que ça...