Le Marocain Samir Azzimani va participer aux Jeux de Pyeongchang en ski de fond après avoir disputé ceux de Vancouver en ski alpin. Dans trois mois, Samir Azzimani aura délaissé les routes du Maroc pour les pistes enneigées de Corée du Sud. Ce Marocain âgé de 40 ans va participer aux Jeux olympiques d'hiver, à Pyeongchang. Il était déjà à Vancouver en 2010, mais il s‘était aligné en ski alpin, finissant 74e du géant et 44e du slalom. C'est pour vivre une nouvelle fois son rêve olympique qu'il a dû changer de discipline et se mettre au ski de fond. Samir Azzimani : "Je n'aimais pas le ski de fond, pour moi ça n'avait aucun intérêt. Après avoir pratiqué, j'ai commencé à aimer ça. A la suite de ça, j'ai eu une opération, j'ai eu des blessures, et le ski alpin, c‘était fini, car cela demandait beaucoup trop de moyens, et là je me suis lancé dans le ski de fond, dans le ski nordique." A défaut de de pouvoir se payer des stages dans l'hémisphère sud ou sur les glaciers européens, et en attendant que l'hiver arrive dans les montagnes de l'Atlas, Samir Azzimani s'entraîne en ski-roulettes. Il espère inspirer la jeune génération et faire des émules dans son pays. Samir Azzimani : "Comme on a beaucoup d'athlètes avec un volume pulmonaire assez important, notamment des coureurs de fond et de demi-fond, je pense que ces gens là pourraient pratiquer ce sport, et faire en sorte que dans le futur, on puisse, pourquoi pas, avoir de grands champions." Surnommé "Couscous rocket", en référence aux bobeurs jamaïcains alignés aux Jeux de Calgary, Samir Azzimani écrit sa propre histoire avec un doublé inédit. Il est le premier athlète à s‘être qualifié pour les Jeux olympiques, en ski alpin et en ski de fond. Dans trois mois, Samir Azzimani aura délaissé les routes du Maroc pour les pistes enneigées de Corée du Sud. Ce Marocain âgé de 40 ans va participer aux Jeux olympiques d'hiver, à Pyeongchang. Il était déjà à Vancouver en 2010, mais il s‘était aligné en ski alpin, finissant 74e du géant et 44e du slalom. C'est pour vivre une nouvelle fois son rêve olympique qu'il a dû changer de discipline et se mettre au ski de fond. Samir Azzimani : "Je n'aimais pas le ski de fond, pour moi ça n'avait aucun intérêt. Après avoir pratiqué, j'ai commencé à aimer ça. A la suite de ça, j'ai eu une opération, j'ai eu des blessures, et le ski alpin, c‘était fini, car cela demandait beaucoup trop de moyens, et là je me suis lancé dans le ski de fond, dans le ski nordique." A défaut de de pouvoir se payer des stages dans l'hémisphère sud ou sur les glaciers européens, et en attendant que l'hiver arrive dans les montagnes de l'Atlas, Samir Azzimani s'entraîne en ski-roulettes. Il espère inspirer la jeune génération et faire des émules dans son pays. Samir Azzimani : "Comme on a beaucoup d'athlètes avec un volume pulmonaire assez important, notamment des coureurs de fond et de demi-fond, je pense que ces gens là pourraient pratiquer ce sport, et faire en sorte que dans le futur, on puisse, pourquoi pas, avoir de grands champions." Surnommé "Couscous rocket", en référence aux bobeurs jamaïcains alignés aux Jeux de Calgary, Samir Azzimani écrit sa propre histoire avec un doublé inédit. Il est le premier athlète à s‘être qualifié pour les Jeux olympiques, en ski alpin et en ski de fond.