Le directeur général de l'Office national de l'électricité et de l'eau potable (ONEE) n'exclut pas une hausse des prix de l'électricité. Néanmoins, cette hausse probable, précise Ali Fassi-Fihri, concernerait plutôt la haute tension. «Au Maroc, la moyenne tension est moins chère que la haute tension. C'est-à-dire que l'énergie la plus chère à produire est vendue moins chère. C'est ce que nous voulons revisiter», a-t-il indiqué. L'objectif, a ajouté le DG de l'ONEE, est d'arriver à un équilibre entre le coût de la production et les tarifs, «tout en protégeant le pouvoir d'achat des consommateurs».