«Il s'agit d'un complément d'honoraires», avance Redouane Semlali, président de l'Association nationale des cliniques privées (ANCP) en parlant du paiement au «noir» de certaines prestations médicales non couvertes entièrement par les régimes de couvertures maladies. Lors d'un point de presse organisé par l'ANCP le 13 novembre, les représentants des propriétaires des cliniques ont défendu leur secteur et appellent «à la révision des Conventions nationales de tarification qui sont à l'origine de ce malentendu avec l'opinion publique». Pour rappel, ces accords n'ont pas été révisés depuis 2006, date de l'entrée en vigueur de l'AMO.