Traite d'être humains, trafic d'influence, viol avec violence, prostitution... les charges retenues par le ministère public contre le journaliste Taoufik Bouachrin sont nombreuses et lourdes. Selon le communiqué du procureur général du roi auprès de la Cour d'appel de Casablanca, les faits incriminés ont été commis supposément à l'encontre de huit victimes présumées dont les visages figurent sur «une cinquantaine de vidéos retrouvés dans un disque dure saisi au bureau du journaliste». Le procureur a fixé la date de la première comparution le 8 mars.